Le parvovirus, vers une meilleure immunité avec le vaccin dès quatre semaines d'âge ?
Hall, Mathilde
Promotor(s) : Machiels, Bénédicte
Date of defense : 27-Jun-2024 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/20805
Details
Title : | Le parvovirus, vers une meilleure immunité avec le vaccin dès quatre semaines d'âge ? |
Author : | Hall, Mathilde |
Date of defense : | 27-Jun-2024 |
Advisor(s) : | Machiels, Bénédicte |
Committee's member(s) : | Vanderplasschen, Alain
Dewals, Benjamin Gillet, Laurent Gourzonnes, Claire |
Language : | French |
Keywords : | [fr] parvovirus [fr] vaccination [fr] immunisation [fr] 4 weeks old |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] La parvovirose canine est une maladie virale extrêmement contagieuse qui affecte principalement les chiots non vaccinés. Cette infection peut provoquer des symptômes graves, souvent avec des conséquences fatales. Bien que les chiots puissent en partie surmonter cette pathologie dès leur plus jeune âge grâce à divers mécanismes physiologiques, dont l'immunité humorale passive, cela demeure parfois insuffisant. Par conséquent, des méthodes de vaccination ont été développées pour combattre ce virus, en tenant compte des différentes étapes de la vie du chiot, notamment le développement de son immunité. Les anticorps maternels jouent un rôle crucial dans la protection des nouveau-nés mais ils peuvent également interférer avec l’efficacité de la vaccination entrainant des échecs d’immunisation active contre ce virus. La prévention par la vaccination est donc cruciale. Le vaccin bivalent, Nobivac ParvoDP Plus, administré dès quatre semaines d’âge, est présenté comme une approche prophylactique novatrice et efficace dans la lutte contre cette maladie. Ce travail a pour objectif de fournir une analyse critique et comparative de l’efficacité de ce vaccin administré précocement au regard des autres propositions vaccinales. Ainsi, malgré la protection offerte par les anticorps maternels, une vaccination dès quatre semaines semble améliorer la situation actuelle, bien qu’elle ne constitue pas une solution complète pour protéger de la parvovirose en raison de la variabilité individuelle des réponses immunitaires. Par ailleurs, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour affiner les protocoles de vaccination et mieux comprendre la durée de la demi-vie des anticorps maternels afin d’optimiser l’immunisation contre la parvovirose canine.
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