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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire
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Évaluation du risque de débordement de l'influenza A aviaire à l'espèce féline

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Polatynska, Alexandra ULiège
Promoteur(s) : Desmecht, Daniel ULiège
Date de soutenance : 27-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20814
Détails
Titre : Évaluation du risque de débordement de l'influenza A aviaire à l'espèce féline
Titre traduit : [en] Assessment of the risk of avian Influenza A spillover to the feline species
Auteur : Polatynska, Alexandra ULiège
Date de soutenance  : 27-jui-2024
Promoteur(s) : Desmecht, Daniel ULiège
Membre(s) du jury : Delguste, Catherine ULiège
Garigliany, Mutien-Marie ULiège
Antoine, Nadine ULiège
Toppets, Vinciane ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 39
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] L’agent responsable de la grippe aviaire est un virus influenza de type A, appartenant à la famille des Orthomyxoviridae. Les glycoprotéines de surface virale hémagglutinine (HA) et neuraminidase (NA) sont caractérisées par leur grande variabilité antigénique et sont classées en sous-types. À l’heure actuelle, 144 sous-types de souches aviaires ont été identifiés. Les oiseaux aquatiques sauvages, chez qui l’infection est le plus souvent subclinique, servent d’hôtes réservoirs à ces virus. Caractérisés par leur évolution constante, ces virus ont été à l’origine de plusieurs pandémies notables depuis le XXe siècle. Plus récemment, l’émergence de cas d’infection par le virus H5N1 hautement pathogène chez divers mammifères, y compris les chats, a soulevé des préoccupations concernant la possibilité d’une adaptation et d’une propagation plus large de ce virus au sein de cette espèce, et par extension à l’homme.

L’analyse des cas récents dans l’espèce féline a permis d’observer que l’adaptation d’un virus à un nouvel hôte est multifactorielle et complexe. La transmission entre chats n’est pour le moment pas efficace dans les conditions domestiques classiques et les risques pour la santé publique sont par conséquent actuellement faibles, mais non négligeables. Toutefois, en raison des mutations génomiques fréquentes du virus, il est essentiel de renforcer la surveillance des félins, surtout dans les zones à risque, pour anticiper et prévenir d'éventuelles épidémies.


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Document(s)

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Access POLATYNSKA_Alexandra_TFE_FMV_juin2024_définitif.pdf
Description:
Taille: 2.08 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Polatynska, Alexandra ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Delguste, Catherine ULiège Université de Liège - ULiège > > Scientifiques attachés au Doyen (F MV)
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  • Garigliany, Mutien-Marie ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Pathologie générale et autopsies
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  • Antoine, Nadine ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Histologie
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Toppets, Vinciane ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > FARAH: Santé publique vétérinaire
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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