Les sarcomes post-injectionnels chez le chat : prévention, traitements et analyse de la faisabilité sur le terrain
Krings, Hélène
Promotor(s) :
Grobet, Luc
Date of defense : 6-Sep-2024 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/21076
Details
| Title : | Les sarcomes post-injectionnels chez le chat : prévention, traitements et analyse de la faisabilité sur le terrain |
| Translated title : | [en] Post-injection Sarcomas in cats: Prevention, Treatments and Feasibility Analysis in the Field |
| Author : | Krings, Hélène
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| Date of defense : | 6-Sep-2024 |
| Advisor(s) : | Grobet, Luc
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| Committee's member(s) : | de Meeûs d'Argenteuil, Constance
Gabriel, Annick
Vandenput, Sandrina
Jauniaux, Thierry
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| Language : | French |
| Number of pages : | 39 |
| Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Degree: | Master en médecine vétérinaire |
| Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] Les sarcomes post-injectionnels chez le chat sont des tumeurs des cellules mésenchymateuses qui se développent suite à des injections répétées chez celui-ci. Malgré une incidence faible, ces tumeurs entraînent des problèmes au niveau thérapeutique. C’est pourquoi la prévention est primordiale. La thérapie optimale face à ces tumeurs n’a pas encore été trouvée mais il est préférable de réaliser une thérapie multimodale associant la chirurgie à la radiothérapie, l’immunothérapie, la chimiothérapie et/ou autre. De nouveaux traitements, toujours à l’étude, pourraient bientôt être utilisés dans la pratique quotidienne. Pour connaître ce qui se fait déjà sur le terrain, un questionnaire sur la prévention et les traitements utilisés a été réalisé et diMusé. Après analyse de la littérature et des résultats du questionnaire, l’approche thérapeutique multimodale la plus utilisée et recommandée est la chirurgie associée à la radiothérapie. L’utilisation d’inhibiteurs COX-2 sélectifs semble être une approche intéressante et facile à mettre en place mais nécessite encore des études.
La prévention reste incontournable et a fait ses preuves car une diminution du nombre de cas de FISS est observée.
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