Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "De quelle façon les réactions des 15-25 ans face aux discours de haine en ligne sont-elles influencées par le profil du jeune et de son utilisation des réseaux sociaux ?"[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Hartel, Iléane
Promoteur(s) : Mathys, Cécile
Date de soutenance : 30-aoû-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/22117
Détails
Titre : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "De quelle façon les réactions des 15-25 ans face aux discours de haine en ligne sont-elles influencées par le profil du jeune et de son utilisation des réseaux sociaux ?"[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Hartel, Iléane |
Date de soutenance : | 30-aoû-2024 |
Promoteur(s) : | Mathys, Cécile |
Membre(s) du jury : | Gangi, Océane
Giacometti, Mona |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 50 |
Mots-clés : | [fr] Discours de haine en ligne [fr] Réactions [fr] Réseaux sociaux [fr] Exposition [fr] Implication parentale |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie, à finalité spécialisée |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] L’objectif de notre étude était de montrer si le profil du jeune et son utilisation des réseaux sociaux avaient une influence sur les réactions que les 15 - 25 ans pouvaient ressentir face aux discours de haine en ligne. Bien que le sujet concernant les discours de haine en ligne a été peu traité dans la littérature, un lien a été identifié entre l’utilisation des réseaux sociaux et l’implication parentale. Plus spécifiquement, nous avons voulu savoir s’il était possible d’influencer positivement les réactions en mesurant l’anonymat, l’utilisation des réseaux sociaux, l’implication parentale, la confidentialité ainsi que le profil du jeune comprenant l’âge, le sexe, l’appartenance groupale et le sentiment de supériorité. Notre travail est composé de 87 participants, âgés de 15 à 25 ans de tout venants et ayant déjà été confronté à des discours de haine en ligne. Cette étude a montré que les femmes avaient davantage de réactions que les hommes, tout comme les personnes appartenant à un groupe. À l‘inverse, notre étude a prouvé que les personnes avec un haut degré de sentiment de supériorité montrent moins de réactions. De plus, nous avons démontré que si les parents étaient moins impliqués dans l’utilisation des réseaux sociaux de leur enfant, cela avait pour effet une majoration du temps passé sur Internet et de ce fait, une surexposition aux discours de haine en ligne. Enfin, notre étude a mis l’accent sur la prévention dans le but d’impacter les réactions des jeunes et adopter une attitude pro-victime.
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