Mémoire de fin d'études: Les apports du BIM en matière de construction éco-responsable à l'épreuve des pratiques
Mariani, Chiara
Promotor(s) :
Neuwels, Julie
Date of defense : 26-May-2025/30-May-2025 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/23004
Details
| Title : | Mémoire de fin d'études: Les apports du BIM en matière de construction éco-responsable à l'épreuve des pratiques |
| Translated title : | [en] The Role of BIM in Sustainable Construction: A Practical Evaluation |
| Author : | Mariani, Chiara
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| Date of defense : | 26-May-2025/30-May-2025 |
| Advisor(s) : | Neuwels, Julie
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| Committee's member(s) : | Trachte, Sophie
Delgoffe, Daniel
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| Language : | French |
| Number of pages : | 67 |
| Keywords : | [fr] BIM [fr] Eco-responsable [fr] Pratiques [fr] Sociologie [fr] Innovation [fr] Promesses |
| Discipline(s) : | Engineering, computing & technology > Architecture Life sciences > Environmental sciences & ecology Social & behavioral sciences, psychology > Sociology & social sciences |
| Target public : | Student |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Degree: | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
| Faculty: | Master thesis of the Faculté d'Architecture |
Abstract
[fr] Ce mémoire propose une analyse critique des apports réels du BIM (Building Information
Modeling) dans le domaine de la construction éco-responsable. À travers l’étude de cinq
bureaux d’architecture en Belgique et au Luxembourg, il met en évidence un écart marqué
entre les promesses théoriques du BIM et son application concrète sur le terrain. Bien que
reconnu pour ses capacités à améliorer la coordination, réduire les erreurs et optimiser certains
processus, le BIM ne tient que partiellement ses promesses en matière de durabilité
environnementale. L’approche sociotechnique, inspirée des travaux de Madeleine Akrich,
permet d’analyser comment cet outil est approprié, détourné ou contraint par les contextes
professionnels. L’étude montre que son adoption est souvent motivée par des logiques d’image
ou pour répondre aux exigences des marchés publics, plus que par une volonté affirmée de
transition écologique. Des freins importants sont identifiés : coûts élevés, manque de
standardisation, complexité des logiciels et faible prise en compte de l’impact environnemental
du numérique. Le mémoire souligne la nécessité d’un usage plus critique, contextualisé et
mesuré du BIM afin qu’il puisse devenir un véritable levier au service d’une construction plus
durable.
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