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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire

Les radiculopathies des cervicales basses, une cause de boiterie sous-diagnostiquée en médecine équine ?

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Chailley, Adrien ULiège
Promoteur(s) : Sandersen, Charlotte ULiège
Date de soutenance : 26-jui-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/23292
Détails
Titre : Les radiculopathies des cervicales basses, une cause de boiterie sous-diagnostiquée en médecine équine ?
Titre traduit : [fr] Lower cervical radiculopathies: an underdiagnosed cause of lameness in equine medicine ?
Auteur : Chailley, Adrien ULiège
Date de soutenance  : 26-jui-2025
Promoteur(s) : Sandersen, Charlotte ULiège
Membre(s) du jury : Salciccia, Alexandra ULiège
Fraipont, Audrey ULiège
Langue : Français
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Les avis restent partagés quant à l’importance des cervicales basses dans le cadre du diagnostic de boiterie en médecine équine. Bien que les affections cervicales soient relativement rares, il semble pertinent d’intégrer systématiquement l’examen du rachis cervical dans l’évaluation d’un cheval présentant une boiterie. Cette démarche se justifie d’autant plus que nos connaissances en la matière progressent : un nombre croissant de pathologies cervicales sont aujourd’hui reconnues, notamment certaines impliquant une compression des nerfs spinaux issus des vertèbres cervicales basses. Comprendre ces affections est essentiel, car certaines lésions autrefois considérées comme pathologiques s’avèrent finalement dépourvues d’impact clinique réel. Le syndrome de Wobbler est bien documenté dans la littérature, contrairement aux radiculopathies cervicales, pourtant étroitement liées sur le plan physiopathologique. Les outils diagnostiques se perfectionnent au fil des années bien que leur efficacité puisse parfois être limitée par la morphologie particulière du cheval. Seuls, ces examens ne permettent pas toujours de poser un diagnostic certain. En revanche, lorsqu’ils sont combinés à une observation attentive, une palpation rigoureuse et un examen clinique complet, ils contribuent à affiner le raisonnement diagnostique.


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Auteur

  • Chailley, Adrien ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Salciccia, Alexandra ULiège Université de Liège - ULiège > Département d'Ens. et de Clinique des Equidés (DCE) > Chirurgie des équidés
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Fraipont, Audrey ULiège Université de Liège - ULiège > Département d'Ens. et de Clinique des Equidés (DCE) > Département d'Ens. et de Clinique des Equidés (DCE)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi








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