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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire

Giardiose canine et féline : optimiser le diagnostic, la prise en charge thérapeutique et la prévention des récidives

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Fredon, Margaux ULiège
Promoteur(s) : Mignon, Bernard ULiège
Date de soutenance : 26-jui-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/23422
Détails
Titre : Giardiose canine et féline : optimiser le diagnostic, la prise en charge thérapeutique et la prévention des récidives
Auteur : Fredon, Margaux ULiège
Date de soutenance  : 26-jui-2025
Promoteur(s) : Mignon, Bernard ULiège
Membre(s) du jury : Saegerman, Claude ULiège
Thiry, Damien ULiège
Langue : Français
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Giardia duodenalis est un protozoaire intestinal largement répandu chez le chien et le
chat, et occasionnellement transmissible à l’humain. Malgré sa prévalence importante,
la giardiose reste un défi en médecine vétérinaire, tant sur le plan diagnostique que
thérapeutique. La grande variabilité du tableau clinique, l’excrétion intermittente des
kystes et l’absence de véritable test de référence compliquent l’identification des cas
et leur prise en charge. L’analyse critique des différentes méthodes diagnostiques met
en évidence des performances variables selon les contextes. L’immunofluorescence
directe reste la technique la plus sensible, mais est inaccessible en clinique. L’ELISA
et la flottation au ZnSO4 peuvent facilement être réalisés en routine et présentent des
performances satisfaisantes, à condition de multiplier les échantillons. La PCR est un
outil utile en épidémiologie, mais est peu adaptée au suivi. Finalement, le recours à
une combinaison de plusieurs méthodes reste le meilleur compromis pour améliorer
la fiabilité du diagnostic. Sur le plan thérapeutique, le fenbendazole et le métronidazole
sont les molécules les plus utilisées, mais les échecs de traitement peuvent justifier
l’usage de molécules alternatives ou d’associations de molécules. Les récidives sont
fréquentes et généralement liées à une contamination environnementale persistante.
Une gestion efficace de la giardiose repose sur une approche intégrée : combiner plusieurs techniques diagnostiques, mettre en place un traitement adapté, respecter
une hygiène stricte et réaliser un suivi rigoureux.


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Format: Adobe PDF
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Access FREDON_Margaux_TFE_FMV_juin2025_définitif.pdf
Description:
Taille: 733.02 kB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Fredon, Margaux ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Saegerman, Claude ULiège Université de Liège - ULiège > Département des maladies infectieuses et parasitaires (DMI) > Epidémiologie et analyse des risques appl. aux sc. vétér.
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Thiry, Damien ULiège Université de Liège - ULiège > Département des maladies infectieuses et parasitaires (DMI) > Bactériologie vétérinaire et maladies bactériennes animales
    ORBi Voir ses publications sur ORBi








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