La cystite idiopathique féline et la cystite interstitielle chez la femme : analyse comparative des approches physiopathologiques, diagnostiques et thérapeutiques
Clergeaud, Salomé
Promoteur(s) :
Billen, Frédéric
Date de soutenance : 26-jui-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/23450
Détails
| Titre : | La cystite idiopathique féline et la cystite interstitielle chez la femme : analyse comparative des approches physiopathologiques, diagnostiques et thérapeutiques |
| Auteur : | Clergeaud, Salomé
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| Date de soutenance : | 26-jui-2025 |
| Promoteur(s) : | Billen, Frédéric
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| Membre(s) du jury : | Tutunaru, Alexandru-Cosmin
Bolen, Geraldine
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| Langue : | Français |
| Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
| Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La cystite idiopathique féline est une pathologie fréquente chez le chat, souvent observée chez les jeunes adultes (1-5 ans) présentant des symptômes urinaires tels que la pollakiurie, dysurie, hématurie, périurie et peut parfois être obstructive. Elle peut être influencée par le stress, l’environnement et une dysfonction neuroendocrine. Son étiologie précise est inconnue et serait multifactorielle (environnement, stress …). Plusieurs mécanismes sont mis en cause et le diagnostic se fait par exclusion car il n’existe pas de test spécifique. Enfin, la cystite idiopathique féline peut se traiter par la réduction de stress et la gestion du comportement via la thérapie « modifications environnementales multimodales », l’alimentation humide, des régimes enrichis en L-tryptophane ainsi que des thérapies médicamenteuses. D’autre part, la cystite interstitielle chez la femme est une inflammation chronique de la vessie, touchant majoritairement les femmes de 30 à 50 ans. Elle se manifeste par des douleurs pelviennes, une envie fréquente d’uriner, sans cause infectieuse. Il s’agit également d’un diagnostic d’exclusion (aucun biomarqueur fiable). La physiopathologie se traduit par de l’inflammation neurogène, l’altération de la barrière urothéliale, l’activation mastocytaire, des dérèglements neurologiques, endocriniens et immunitaires. Enfin, le traitement se fait via une approche multimodale avec notamment des traitements émergents.
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