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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire

Carcinome à cellules squameuses de la cavité buccale chez le chat : analyse des facteurs pronostiques

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Zapolska, Weronika ULiège
Promoteur(s) : Grobet, Luc ULiège
Date de soutenance : 26-jui-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/23525
Détails
Titre : Carcinome à cellules squameuses de la cavité buccale chez le chat : analyse des facteurs pronostiques
Titre traduit : [fr] Squamous cell carcinoma of the oral cavity in cats: analysis of prognostic factors
Auteur : Zapolska, Weronika ULiège
Date de soutenance  : 26-jui-2025
Promoteur(s) : Grobet, Luc ULiège
Membre(s) du jury : Gabriel, Annick ULiège
de Meeûs d'Argenteuil, Constance ULiège
Vandenput, Sandrina ULiège
Jauniaux, Thierry ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 32
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Le carcinome à cellules squameuses est la tumeur maligne la plus fréquente de la cavité orale chez le chat. Il se caractérise par une étiopathogénie encore incomplètement élucidée. Il s'agit d'une affection localement agressive, avec une forte tendance à l'invasion des tissus environnants, touchant les tissus conjonctifs, musculaires, nerveux et osseux, avec une atteinte osseuse observée dans plus de 93,3 % des cas. Le pronostic est généralement défavorable en raison d’un diagnostic souvent tardif et d’une réponse limitée aux traitements classiques tels que la chirurgie ou la radiothérapie. Bien que l’excision chirurgicale soit couramment pratiquée, elle ne garantit pas l’absence de récidive. Longtemps considérés comme peu métastatiques, les CCSFO ont montré, selon des études récentes, un taux notable de métastases ganglionnaires (jusqu’à 31 %) et pulmonaires (10 %), sans lien clair avec la localisation tumorale. Les métastases touchent principalement les ganglions mandibulaires, mais peuvent également atteindre divers organes, rendant le pronostic encore plus réservé. L’analyse des facteurs pronostiques tels que la localisation de la tumeur, sa taille, la présence de métastases, sa densité microvasculaire, la détection de protéines telles que Ki67 et EGFR, mais aussi des éléments liés à son microenvironnement et aux traitements choisis est essentielle pour estimer la survie et orienter la prise en charge thérapeutique.


Fichier(s)

Document(s)

File
Access ZAPOLSKA_Weronika_TFE_FMV_juin2025_définitif.docx.pdf
Description:
Taille: 3.2 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Zapolska, Weronika ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Gabriel, Annick ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Anatomie des animaux domestiques
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • de Meeûs d'Argenteuil, Constance ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Département de morphologie et pathologie (DMP)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Vandenput, Sandrina ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences cliniques > Département des sciences cliniques
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Jauniaux, Thierry ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Département de morphologie et pathologie (DMP)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi








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