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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire

Essor de l'intelligence artificielle : la reconnaissance automatisée de la douleur a-t-elle de l'avenir en clinique vétérinaire équine ?

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Ensch, Adeline ULiège
Promoteur(s) : Grulke, Sigrid ULiège
Date de soutenance : 26-jui-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/23603
Détails
Titre : Essor de l'intelligence artificielle : la reconnaissance automatisée de la douleur a-t-elle de l'avenir en clinique vétérinaire équine ?
Titre traduit : [fr] Rise of artificial intelligence : does automated pain recognition have a future in equine veterinary clincics ?
Auteur : Ensch, Adeline ULiège
Date de soutenance  : 26-jui-2025
Promoteur(s) : Grulke, Sigrid ULiège
Membre(s) du jury : de la Rebière de Pouyade, Geoffroy ULiège
Ponthier, Jérôme ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 34
Mots-clés : [fr] Cheval
[fr] douleur
[fr] intelligence artificielle
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Depuis plusieurs décennies, de nombreuses études ont été menées dans le but d’établir un
moyen objectif de reconnaissance de la douleur chez les chevaux. Cela a donné lieu à la création de différentes échelles de douleur qui sont utilisées actuellement. Celles-ci sont détaillées dans ce travail. Il s’avère que ces échelles présentent des limites : la subjectivité, le temps d’évaluation, la sous-évaluation de la douleur ou encore la nécessité de formation du personnel.
Des études récentes ont donc tenté de développer des modèles capables d’identifier
automatiquement les signes de douleur à partir d’images du faciès du cheval. Certaines
s’appuient sur le système EquiFACS, un codage standardisé des mouvements faciaux. Les
expressions plus rapportées par les différentes études comme témoignant de la douleur sont la
dilatation des narines, la rotation des oreilles, le demi-clignement de l’œil ou encore le
soulèvement du menton. La majorité des travaux sont également d’accord au sujet de
l’importance de l’évaluation dynamique. En effet, ils ont mis en évidence l’apparition de
combinaisons de mouvements faciaux visibles dans une certaine fenêtre de temps. Des modèles
informatiques ont ensuite été entraînés à la reconnaissance de la douleur et les résultats se sont
avérés prometteurs.
Toutefois, il persiste des obstacles avant de pouvoir appliquer cela en clinique : taille limitée
des échantillons, bases de données limitées, manque de diversité morphologique dans les
échantillons étudiés. La reconnaissance automatisée de la douleur est donc une méthode
prometteuse mais toujours en développement. Elle pourrait devenir un outil indispensable en
clinique une fois les défis techniques et méthodologiques actuels surmontés.


Fichier(s)

Document(s)

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Access ENSCH_Adeline_TFE_FMV_juin2025_provisoire.pdf
Description:
Taille: 1.07 MB
Format: Adobe PDF
File
Access ENSCH_Adeline_TFE_FMV_juin2025_définitif.pdf
Description:
Taille: 1.09 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Ensch, Adeline ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • de la Rebière de Pouyade, Geoffroy ULiège Université de Liège - ULiège > Département d'Ens. et de Clinique des Equidés (DCE) > Chirurgie des équidés
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Ponthier, Jérôme ULiège Université de Liège - ULiège > Département d'Ens. et de Clinique des Equidés (DCE) > Reproduction des équidés
    ORBi Voir ses publications sur ORBi








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