Mémoire de fin d'études: Architecture, pouvoir et représentation : la place Skanderbeg comme théâtre politique
Vladi, Larglinda
Promoteur(s) :
Le Coguiec, Eric
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Bianchi, Michaël
Date de soutenance : 1-sep-2025/5-sep-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/24343
Détails
| Titre : | Mémoire de fin d'études: Architecture, pouvoir et représentation : la place Skanderbeg comme théâtre politique |
| Auteur : | Vladi, Larglinda
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| Date de soutenance : | 1-sep-2025/5-sep-2025 |
| Promoteur(s) : | Le Coguiec, Eric
Bianchi, Michaël
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| Membre(s) du jury : | Wuytack, Karel
Korbi, Marson |
| Langue : | Français |
| Discipline(s) : | Ingénierie, informatique & technologie > Architecture |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
| Faculté : | Mémoires de la Faculté d'Architecture |
Résumé
[fr] À Tirana, capitale de l’Albanie, de profonds bouleversements urbains se déploient sous l’impulsion d’une idéologie néolibérale. L’un des premiers grands chantiers de cette politique de renaissance urbaine fut la transformation de la place Skanderbeg.
Cette place a toujours été associée à une esthétisation du pouvoir. Mais une question s’impose : aujourd’hui, continue-t-elle à refléter ce pouvoir ?
Pour y répondre, ce travail adopte une approche par les controverses. Ces dernières permettent d’ouvrir la « boîte noire » du récit dominant et de saisir comment les choses fonctionnent réellement. Il ne s’agit pas ici d’une simple analyse architecturale, mais d’une enquête sur la fabrique ou mieux encore, sur le jeu qui se joue dans ce théâtre.
Dans ce théâtre, les acteurs ne sont pas seulement humains : ce sont aussi les objets. Ceux qui sont utilisés, déplacés, réemployés ou détournés selon les époques. La place Skanderbeg est faite de ces objets, anciens et nouveaux, qui circulent, persistent et se transforment. Ce que cette recherche met en lumière, c’est que les régimes n’effacent pas les traces des précédents : les objets continuent d’exister, parfois sous d’autres formes, parfois avec d’autres significations, mais rarement remplacés totalement.
Finalement, cette étude révèle comment l’esthétisation du pouvoir se construit concrètement par des objets, des gestes et des récits qui s’entrelacent au fil du temps.
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