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Faculté de Philosophie et Lettres
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Mémoire

Regards philosophiques sur l'intelligence artificielle : est-ce que les machines pensent ?

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Belloi, Théo ULiège
Promoteur(s) : Leclercq, Bruno ULiège
Date de soutenance : 29-aoû-2025/4-sep-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/24536
Détails
Titre : Regards philosophiques sur l'intelligence artificielle : est-ce que les machines pensent ?
Titre traduit : [fr] Philosophical Perspectives on Artificial Intelligence: Can Machines Think?
Auteur : Belloi, Théo ULiège
Date de soutenance  : 29-aoû-2025/4-sep-2025
Promoteur(s) : Leclercq, Bruno ULiège
Membre(s) du jury : Seron, Denis ULiège
Bouquiaux, Laurence ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 98
Mots-clés : [fr] Chambre chinoise,
[fr] Test de Turing,
[fr] LLM,
[fr] Large language models
[fr] phénoménologie,
[fr] intelligence artificielle,
[fr] IA,
[fr] Incarnation,
[fr] Intelligence, conscience
[fr] compréhension
[en] Chinese Room,
[en] phenomenology,
[en] Artificial Intelligence, AI,
[en] understanding,
[en] embodiement
[en] Intelligence
[en] Turing test, Large Language Models
[en] consciouness
Discipline(s) : Arts & sciences humaines > Philosophie & éthique
Public cible : Chercheurs
Professionnels du domaine
Etudiants
Grand public
Autre
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en philosophie, à finalité didactique
Faculté : Mémoires de la Faculté de Philosophie et Lettres

Résumé

[fr] Ce mémoire tente de répondre à la question : « Est-ce que machines pensent ? ». Il est structuré en trois parties. La première clarifie les principaux paradigmes de l’intelligence artificielle (symbolique, connexionniste, AGI) en présentant leur fonctionnement et leurs limites. La deuxième confronte les arguments de l’IA faible et de l’IA forte (Turing, Dennett, Searle, Chalmers) à l’aune des technologies actuelles. La troisième, s’appuyant sur des concepts phénoménologiques (incarnation, ancrage, Umwelt), défend une position intermédiaire : l’intelligence artificielle et l’intelligence humaine n’entretiennent pas le même rapport au monde ; dès lors, les systèmes contemporains manifestent une forme de pensée opératoire, mais pas une pensée humaine au sens fort.

[en] This thesis addresses the question: “Do machines think?” It is structured in three parts. The first clarifies the main paradigms of artificial intelligence (symbolic, connectionist, and artificial general intelligence) by presenting how they work and their limits. The second confronts arguments for weak AI and strong AI (Turing, Dennett, Searle, Chalmers) in light of current technologies. The third, drawing on phenomenological concepts (embodiment, grounding, Umwelt), defends an intermediate position: artificial and human intelligence do not stand in the same relation to the world; accordingly, contemporary systems exhibit a form of operational thinking, but not human thinking in the strong sense.


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Document(s)

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Access memoirefinal.pdf
Description: Page de garde, page de remerciements et bibliographie comprises.
Taille: 796.74 kB
Format: Adobe PDF
File
Access Erratum_memoirefinal.pdf
Description: -
Taille: 170.44 kB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Belloi, Théo ULiège Université de Liège > Master philo., fin. did.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury









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