Quelle plus-value peut apporter la réalité virtuelle dans une prise en charge d'activation comportementale ?
Pinsart, Manon
Promoteur(s) :
Wagener, Aurélie
Date de soutenance : 1-sep-2025/9-sep-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/24559
Détails
| Titre : | Quelle plus-value peut apporter la réalité virtuelle dans une prise en charge d'activation comportementale ? |
| Auteur : | Pinsart, Manon
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| Date de soutenance : | 1-sep-2025/9-sep-2025 |
| Promoteur(s) : | Wagener, Aurélie
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| Membre(s) du jury : | Etienne, Anne-Marie
Blairy, Sylvie
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| Langue : | Français |
| Nombre de pages : | 132 |
| Mots-clés : | [fr] Dépression [fr] Activation comportementale [fr] Réalité virtuelle [fr] Planification d'activité |
| Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique |
| Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants Autre |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée |
| Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Contexte : La dépression est un trouble fréquent et invalidant. L’activation comportementale constitue un traitement efficace, mais ses effets restent parfois limités, notamment en raison de l’écart entre l’intention et le passage à l’action. La réalité virtuelle (RV), déjà utilisée avec succès dans d’autres contextes cliniques, pourrait représenter un outil complémentaire pour renforcer l’efficacité de l’activation comportementale.
Objectif : L’objectif était d’explorer si l’intégration de la RV dans le module de planification d’activités de l’activation comportementale peut apporter une plus-value en facilitant la mise en œuvre des activités et en renforçant l’engagement des participants.
Méthodologie : L’étude a été menée auprès de 30 adultes tout-venant, répartis en deux groupes : planification seule (contrôle) et planification associée à une immersion en RV (expérimental). Différentes mesures relatives à l’activation comportementale, au sentiment d’auto-efficacité, à l’engagement, aux obstacles perçus et à l’impact émotionnel concernant les activités ont été recueillies avant et après l’intervention.
Résultats : Les analyses n’ont pas mis en évidence de différences significatives entre les conditions. Les données obtenues restent limitées et ne permettent pas de tirer de conclusion sur l’efficacité spécifique de la RV dans ce contexte.
Conclusion : Bien que cette étude ne permette pas de conclure quant à la plus-value de la RV intégrée à l’activation comportementale, elle met en évidence des éléments méthodologiques et conceptuels qui mériteraient d’être approfondis dans de futures recherches, auprès d’échantillons plus larges et en contexte clinique.
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