Liens entre la maltraitance infantile, les capacités de mentalisation et le sentiment de compétence parentale
Gillessen, Zoe
Promoteur(s) :
Blavier, Adelaïde
Date de soutenance : 1-sep-2025/9-sep-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/24896
Détails
| Titre : | Liens entre la maltraitance infantile, les capacités de mentalisation et le sentiment de compétence parentale |
| Auteur : | Gillessen, Zoe
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| Date de soutenance : | 1-sep-2025/9-sep-2025 |
| Promoteur(s) : | Blavier, Adelaïde
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| Membre(s) du jury : | Jeanne, Chloé
Geurten, Marie
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| Langue : | Français |
| Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
| Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée |
| Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Objectif : Ce travail a pour objectif de mieux comprendre de quelle manière les expériences de maltraitance infantile peuvent influencer le sentiment de compétence parentale.
Méthode : Un ensemble de questionnaires a été administré à 97 parents d’enfants âgés de 6 à 12 ans, portant sur leur vécu de maltraitance infantile (CTQ-SF ; Bernstein et al., 2003), leurs capacités de mentalisation (RFQ ; Moulton-Perkins et al., 2011) et leur sentiment de compétence parentale (QAECEP ; Terrisse & Trudelle, 1988).
Résultats : Les analyses ont mis en évidence une association significative entre certaines formes de maltraitance et une altération des capacités de mentalisation. En revanche, aucune relation significative n’a été observée entre le vécu de maltraitance et le sentiment de compétence parentale, ni entre la mentalisation et ce sentiment. L’hypothèse d’un effet médiateur de la mentalisation dans cette relation n’a pas été confirmée.
Conclusion : Cette étude, portant sur une population encore peu explorée, met en lumière la complexité des relations entre maltraitance infantile, capacités de mentalisation et sentiment de compétence parentale, et souligne la nécessité de ne pas les envisager comme de simples relations linéaires. Certaines limites doivent être prises en considération, notamment la taille restreinte de l’échantillon, la sous-représentation des pères, le recours à des données auto-rapportées et l’utilisation d’un outil évaluant la mentalisation générale plutôt que spécifiquement parental.
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