Utilisation de la réalité virtuelle comme outil thérapeutique : Quels sont les facteurs influençant son acceptation auprès des cliniciens ?
Marchal, Sylvie
Promotor(s) : Dardenne, Benoît ; Etienne, Anne-Marie
Date of defense : 28-Aug-2017 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/4191
Details
Title : | [fr] Utilisation de la réalité virtuelle comme outil thérapeutique : Quels sont les facteurs influençant son acceptation auprès des cliniciens ? |
Author : | Marchal, Sylvie |
Date of defense : | 28-Aug-2017 |
Advisor(s) : | Dardenne, Benoît
Etienne, Anne-Marie |
Committee's member(s) : | Quertemont, Etienne
Comblain, Annick |
Language : | French |
Number of pages : | 103 |
Rameau keyword(s) : | Réalité virtuelle -- Emploi en thérapeutique |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Treatment & clinical psychology |
Commentary : | 5 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Le travail d’un psychologue, d’un neuropsychologue ou encore d’un logopède évolue constamment en fonction des apports de la recherche. L’efficacité de la réalité virtuelle comme outil thérapeutique est étudiée et soulignée depuis une vingtaine d’années (Malbos et al., 2013). Néanmoins, actuellement, une minorité de cliniciens l’ont intégrée dans leur pratique (Gicquel, 2016). Le but de cette étude consiste donc à identifier les facteurs ayant un rôle déterminant dans le choix de ces professionnels d’utiliser cette technologie. Dès lors, en nous basant sur la littérature concernant l’acceptation d’une technologie (Davis, 1989, Azjen, 1985 ; Taylor et Todd, 1995 ; Venkatesh et al., 2008 ), nous avons développé un modèle conceptuel indiquant nos hypothèses concernant les relations entre les antécédents directs et indirects de prédicteurs du comportement. Ce modèle a ensuite guidé l’élaboration de notre questionnaire dont les items des variables ont été adaptés de ceux régulièrement proposés au sein de la littérature (Glegg, 2013). Notre récolte de données s’est effectuée sur un échantillon de 98 répondants (80 F + 18 H) dont 72.4% de psychologues, 13.5% de neuropsychologues et 12.2% de logopèdes. De plus, 85.7% des répondants n’ont jamais utilisé la réalité virtuelle dans un contexte clinique et plus de la moitié de l’échantillon s’estime peu familier avec la technologie ou les recherches sur son efficacité en clinique. Nos résultats principaux indiquent que les cliniciens interrogés tendent principalement à se référer à la norme subjective mais également à leur perception de contrôle sur l’utilisation de l’outil ainsi qu’à leur attitude envers la technologie.
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