Vulnérabilité cognitive chez les parents du premier degré de patients schizophrènes. Exploration des capacités de voyage mental dans le temps et émotions associées
Van de Woestyne, Mélissa
Promoteur(s) : Blairy, Sylvie
Date de soutenance : 5-sep-2012 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/439
Détails
Titre : | [fr] Vulnérabilité cognitive chez les parents du premier degré de patients schizophrènes. Exploration des capacités de voyage mental dans le temps et émotions associées |
Auteur : | Van de Woestyne, Mélissa |
Date de soutenance : | 5-sep-2012 |
Promoteur(s) : | Blairy, Sylvie |
Membre(s) du jury : | Hansenne, Michel
Sarto, Danielle |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 120 |
Mots-clé(s) Rameau : | Schizophrénie Parents Parents et enfants Troubles de la cognition Emotions Perspective temporelle |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Commentaire : | 0 annexe |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique: approche psychothérapeutique cognitivo-comportementale, neuropsychologie clinique, développement et handicap |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Depuis de nombreuses années, les recherches se sont attelées à tenter de comprendre l’étiologie de la schizophrénie. L’hypothèse d’une interaction entre facteurs génétiques et environnementaux a retenu l’intérêt des chercheurs. Concernant l’étude des facteurs génétiques, il semble évident qu’un gène unique ne peut pas être responsable d’une maladie aussi complexe et hétérogène que la schizophrénie. L’étude des familles dans le domaine de la recherche génétique de la schizophrénie a permis de mettre en évidence différentes anomalies structurelles et cognitives retrouvées chez les patients schizophrènes d’une part, mais également chez leurs apparentés du premier degré d’autre part. Ces observations ont donné naissance à l’hypothèse très intéressante d’une vulnérabilité cognitive héréditaire à la schizophrénie. Les difficultés cognitives susceptibles de faire partie de ces facteurs de vulnérabilité héréditaires sont regroupées, au sein de la littérature, sous le terme d’ « endophénotypes ».Dans l’optique de peut-être parvenir à mettre en évidence de possibles nouveaux endophénotypes de la schizophrénie, ce mémoire aura pour but d’évaluer les performances des parents du premier degré à une épreuve de mémoire autobiographique et de tenter de clarifier les liens, chez ces mêmes sujets, que la mémoire autobiographique pourrait entretenir avec la stabilité de l’identité personnelle.Nous tenterons ensuite d’appréhender l’influence que peuvent avoir les émotions sur la qualité des souvenirs autobiographique. Dans la partie pratique de ce travail,nous commencerons par exposer la méthodologie de l’étude en prenant soin de détailler les caractéristiques des sujets et des mesures neuropsychologiques effectuées. Nous exposerons ensuite les analyses statistiques effectuées sur les données récoltées ainsi que les résultats mis en évidence. Pour terminer, nous discuterons de la manière dont il est nécessaire de comprendre ces résultats, nous exposerons les limites de cette étude et les ouvertures possibles qu’elle pourrait mettre en évidence pour les investigations futures.
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