Feedback

Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education
Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education
Mémoire
VIEW 98 | DOWNLOAD 19

Investigation des facteurs de traitement phonologique influençant l’acquisition du lexique français chez des enfants de langue maternelle minoritaire

Télécharger
Graff, Lucile ULiège
Promoteur(s) : Poncelet, Martine ULiège
Date de soutenance : 5-sep-2012 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/512
Détails
Titre : [fr] Investigation des facteurs de traitement phonologique influençant l’acquisition du lexique français chez des enfants de langue maternelle minoritaire
Auteur : Graff, Lucile ULiège
Date de soutenance  : 5-sep-2012
Promoteur(s) : Poncelet, Martine ULiège
Membre(s) du jury : Morsomme, Dominique ULiège
D'Argembeau, Arnaud ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 90
Mots-clé(s) Rameau : Vocabulaire
Apprentissage
Aptitude à l'apprentissage
Langue maternelle et éducation
Discipline(s) : Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement
Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique
Commentaire : 0 annexe
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en logopédie, à finalité spécialisée en orthodontie-voix
Faculté : Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education

Résumé

[fr] Des traitements phonologiques sont connus comme déterminants pour l'acquisition du lexique chez l'enfant, en langue maternelle et en langue seconde. Il s'agit de la MCT phonologique, et, en particulier, du rappel de l'information "item" et "ordre sériel", de la discrimination auditive, de la conscience phonologique et de l'accès au lexique. Dans cette étude, nous avons observé dans quelle mesure ces facteurs ont pu avoir un impact sur le développement du lexique en français chez des enfants L2 à L1 minoritaire âgés en moyenne de 5 ans et 4 mois et scolarisés en 3ème maternelle dans diverses écoles de la commune de Liège. Nous avons observé l'évolution de leur vocabulaire en production et en réception entre le début et la fin de l'année scolaire, ainsi que l'influence des différents facteurs de traitement phonologique sur celui-ci. Certains liens entre le vocabulaire et la mémoire phonologique à court-terme ont été mis en lumière. Mais, contrairement à nos attentes, nous n'avons constaté aucun impact significatif de la MCT phonologique sur l'accroissement du vocabulaire. Il semblerait en fait qu'un plafonnement du vocabulaire n'a pas permis d'observer l'influence de ce facteur. En effet, même si la MCT phonologique, et en particulier la capacité à rappeler l'information "ordre" a pu prédire l'acquisition de nouveaux mots à un certain moment, nous avons testé les enfants à un âge où ceux possédant les plus "hauts" niveaux de vocabulaire ont ralenti leurs progrès, surtout en vocabulaire en réception. Nous avons mis en relation ce ralentissement du développement avec l'input particulier dont les enfants L2 bénéficient, qui est essentiellement, voire uniquement, le fait de l'école. Il est possible qu'en fin de maternelle, l'input des enfants L2 à L1 minoritaire ne soit donc plus assez riche pour apprendre de nouveaux mots.


Fichier(s)

Document(s)

File
Access s095546Graff2012.pdf
Description: -
Taille: 1.05 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Graff, Lucile ULiège Université de Liège - ULg > 2e an. master logo., fin. spéc. orthod. - voix

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Morsomme, Dominique ULiège Université de Liège - ULg > Département de Psychologie : cognition et comportement > Logopédie des troubles de la voix
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • D'Argembeau, Arnaud ULiège Université de Liège - ULg > Département de Psychologie : cognition et comportement > Psychopathologie cognitive
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Nombre total de vues 98
  • Nombre total de téléchargements 19










Tous les documents disponibles sur MatheO sont protégés par le droit d'auteur et soumis aux règles habituelles de bon usage.
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.