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Gembloux Agro-Bio Tech (GxABT)
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Kernza (Thinopyrum Intermedium), une culture céréalière pérenne : Evaluation de ses performances sous différentes nutritions azotées en Belgique

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Fagnant, Laura ULiège
Promoteur(s) : Bodson, Bernard ULiège
Date de soutenance : 30-aoû-2018 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/5151
Détails
Titre : Kernza (Thinopyrum Intermedium), une culture céréalière pérenne : Evaluation de ses performances sous différentes nutritions azotées en Belgique
Auteur : Fagnant, Laura ULiège
Date de soutenance  : 30-aoû-2018
Promoteur(s) : Bodson, Bernard ULiège
Membre(s) du jury : du Jardin, Patrick ULiège
Dumont, Benjamin ULiège
Beckers, Yves ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 105
Mots-clés : [fr] Kernza - Thinopyrum intermedium - culture céréalière pérenne - fertilisation azotée
Discipline(s) : Sciences du vivant > Agriculture & agronomie
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en bioingénieur : sciences agronomiques, à finalité spécialisée
Faculté : Mémoires de la Gembloux Agro-Bio Tech (GxABT)

Résumé

[fr] La graminée pérenne Thinopyrum intermedium (Kernza®) fait l’objet d’une attention particulière aux USA et en Australie pour son potentiel d’utilisation en tant que nouvelle culture céréalière pérenne. Celle-ci serait particulièrement intéressante pour le contrôle de l’érosion tout en prodiguant un rendement en grains ainsi qu’un rendement fourrager sur plusieurs années. En Europe de l’Ouest, l’espèce pourrait constituer une alternative aux systèmes de culture actuellement utilisés.
La culture est capable de produire un fourrage de qualité moyenne et suffisante pour du bétail allaitant. Au stade 2 nœuds et fauchée au ras du sol, 850 VEM, 70g de DVE et -16g d’OEB ont été obtenus avec des digestibilités de la matière organique et de la matière sèche aux alentours de 70%. Une fertilisation de 100 unités d’azote appliquées au tallage permet d’augmenter sa teneur en protéines. Cette fertilisation fournit également la plus grande production de biomasse aérienne (7,4T de MS/ha au stade floraison) et devrait permettre d’obtenir le meilleur rendement en grains (nombre d’épis/m² et biomasse des épis à la floraison les plus élevés). En outre, l’application de produits de protection des plantes n’a pas été réalisée puisqu’aucun problème particulier vis-à-vis des maladies et des ravageurs n’a été observé. Finalement, le désherbage doit être approfondi que ce soit par voie chimique ou mécanique.
À l’avenir, les rendements en grains devraient être quantifiés et leurs voies de valorisation caractérisées. La production fourragère d’automne devra également être étudiée. Du fait de l’importante variabilité génétique au sein de la population de Th. intermedium (TLI-C5), l’utilisation de matériel provenant d’un plus grand nombre de cycles de sélection devrait améliorer les performances de la culture. En outre, l’implantation d’une culture compagne de trèfle est une voie à explorer.


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Taille: 3.58 MB
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Auteur

  • Fagnant, Laura ULiège Université de Liège > Gembloux Agro-Bio Tech

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • du Jardin, Patrick ULiège Université de Liège - ULiège > Agronomie, Bio-ingénierie et Chimie (AgroBioChem) > Ingénierie des productions végétales et valorisation
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Dumont, Benjamin ULiège Université de Liège - ULiège > Agronomie, Bio-ingénierie et Chimie (AgroBioChem) > Ingénierie des productions végétales et valorisation
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Beckers, Yves ULiège Université de Liège - ULiège > Agronomie, Bio-ingénierie et Chimie (AgroBioChem) > Ingénierie des productions animales et nutrition
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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