Pour l'architecte comme pour le plasticien, le dessin spontané constitue l'alpha
Banaszczuk, Anaïs
Promotor(s) : Bribosia, Patrick
Date of defense : 27-Aug-2018/7-Sep-2018 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/5331
Details
Title : | Pour l'architecte comme pour le plasticien, le dessin spontané constitue l'alpha |
Author : | Banaszczuk, Anaïs |
Date of defense : | 27-Aug-2018/7-Sep-2018 |
Advisor(s) : | Bribosia, Patrick |
Committee's member(s) : | Dorthu, Mariette
Chaumont, Henri SCHOONJANS, Jean Philippe |
Language : | French |
Number of pages : | 124 |
Keywords : | [fr] dessin |
Discipline(s) : | Engineering, computing & technology > Architecture |
Target public : | Professionals of domain Student |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
Faculty: | Master thesis of the Faculté d'Architecture |
Abstract
[fr] A l’heure actuelle, l’architecte fait face à un métier qui se veut de plus en plus technique et pointu. Un projet ne peut quasi plus être mené à bien sans ingénieur et/ou membres extérieurs (artiste, architecte d’intérieur, paysagiste, contrôleur PEB…). L’architecte n’est plus un artiste, humaniste qui par sa formation devait passer par toutes les étapes de l’apprentissage propre aux Beaux-Arts. Il n’est plus obligé de « maitriser » véritablement la technique graphique, comme au siècle précédent. De nombreux autres procédés s’ouvrent à lui. Nous retrouvons notamment l’informatique et la maquette virtuelle. Il ne sculpte plus, ne peint plus. Les parts graphiques et esthétiques s’amenuisent.
S’il est vrai, qu’aujourd’hui, l’architecte n’est plus obligé de savoir « bien dessiner », il doit tout de même être capable d’établir un projet s’intégrant dans un contexte défini. Il lui faut ainsi savoir observer et analyser le contexte environnant. Dans cette phase d’observation, le crayon reste, selon moi, l’outil de prédilection pour saisir l’essentiel et schématiser ses idées. La pertinence de l’outil demeure ainsi dans cet appui à l’observation et à l’extériorisation de sa pensée.
Le crayon est l’outil le plus rapide de recherche. Il compose, rythme, équilibre son « œuvre ». Dans ce raisonnement, qui s’apparente au travail du plasticien, l’architecte a besoin de développer une dynamique réflective. Il doit révéler ses intentions, les matérialiser sur le papier pour pouvoir les faire évoluer. Nous verrons que cette étape peut s’appuyer d’écrits d’artistes tels que Kandinsky , Alexandre Hollan ,….
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