Analyse de l'évolution de la pression sous-glottique estimée au bilan initial et au bilan final. Etude sur 152 patients dysphoniques
Gungurum, Sandra
Promotor(s) : Morsomme, Dominique
Date of defense : 4-Sep-2014 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/694
Details
Title : | [fr] Analyse de l'évolution de la pression sous-glottique estimée au bilan initial et au bilan final. Etude sur 152 patients dysphoniques |
Author : | Gungurum, Sandra |
Date of defense : | 4-Sep-2014 |
Advisor(s) : | Morsomme, Dominique |
Committee's member(s) : | Leclercq, Anne-Lise
Jansen, Catherine |
Language : | French |
Number of pages : | 122 |
Rameau keyword(s) : | Dysphonie Troubles d'articulation de la parole Glotte Voix -- Aspect physiologique |
Discipline(s) : | Human health sciences > Otolaryngology Social & behavioral sciences, psychology > Treatment & clinical psychology |
Commentary : | 2 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en logopédie, à finalité spécialisée en orthodontie-voix |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Le but de cette étude est d'étudier l'évolution de la pression sous glottique estimée au bilan initial et au bilan final chez 152 patients dysphoniques. Nos données de PSGE ont été récoltées dans le cadre des bilans vocaux, réalisés entre décembre 2009 et janvier 2014, par l'Unité de Phoniatrie du CHU de Liège Méthodologie Des 2314 bilans disponibles, nous en avons extrait 348 pour 174 patients. Ils ont été, par la suite, regroupés en fonction du diagnostic établie par l'oto-rhino-laryngologiste et leurs données (évaluation objective et subjective) ont étaient reprises dans un fichier excel. Les analyses approfondies ont été effectuées sur les groupes ayant un effectif supérieur à 20 patients ce qui a réduit notre échantillon à 130 patients. Hypothèses Nos hypothèses de départ étaient que la PSGE, en tant qu'indicateur du forçage vocal (Giovanni & al, 2000), serait significativement supérieure aux valeurs de référence lors du bilan initial mais moins élevée après le traitement vocal (quel qu'il soit). Nous avons postulé pour l'absence d'un effet du genre, de l'âge et de la pathologie diagnostiquée. Nous avions pour hypothèse l'existence d'une corrélation positive entre la PSGE et le niveau de pression sonore, entre la PSGE et le V.H.I mais également entre la PSGE et facteur G'. Enfin, nous avons postulé l'existence d'une corrélation négative entre la PSGE et le TMP ainsi qu'entre la PSGE et le D.S.I. Résultats et conclusions Lors du bilan initial, la PSGE des personnes dysphoniques est significativement plus élevée que celle des personnes normophoniques. Si nous observons une baisse de celle-ci lors du bilan final, nous constaterons que les valeurs restent toujours significativement supérieures aux valeurs de référence de Holmberg & al (1988) et de Zraick & al (2012) Nous obtenons un effet de la pathologie et du genre mais pas de l'âge. Nous rapportons l'existence, après traitement vocal, d'une corrélation positive entre la PSGE et le facteur G' ainsi qu'entre la PSGE et le niveau de pression sonore. Nos résultats sont plus mitigés pour ce qui est des corrélations avec le V.H.I, le D.S.I et le TMP.
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