La gingivostomatite féline et ses causes virales les plus fréquentes
Heynen, Roxane
Promoteur(s) : Thiry, Etienne
Date de soutenance : 27-jui-2019 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/7000
Détails
Titre : | La gingivostomatite féline et ses causes virales les plus fréquentes |
Auteur : | Heynen, Roxane |
Date de soutenance : | 27-jui-2019 |
Promoteur(s) : | Thiry, Etienne |
Membre(s) du jury : | Humblet, Marie-France
Linden, Annick Lempereur, Laetitia |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La gingivostomatite chronique féline est une pathologie multifactorielle dont les causes exactes ne sont pas déterminées. On retrouve des composantes infectieuses (virales et bactériennes), métaboliques, toxiques et à médiation immune. Le stress et les maladies parodontales jouent également un rôle important dans son développement. Selon plusieurs études citées dans ce travail, le virus de l’immunodéficience féline (FIV) et le Calicivirus sont les virus les plus souvent mis en évidence chez les chats atteints de GSCF. Les méthodes diagnostiques sont principalement cliniques et sérologiques (détection FIV/ leucose féline (FeLV)).
Le traitement est compliqué à gérer et répond le plus souvent au cas par cas étant donné que la cause n’est généralement pas mise en évidence. Il consiste le plus souvent à l’administration d’antibiotiques ou à l’exérèse partielle ou totale des dents.
Le rôle du vétérinaire est principalement thérapeutique et prophylactique. Il consiste à sensibiliser le propriétaire aux facteurs de risques et aux bonnes pratiques à adopter pour éviter le développement de la pathologie ainsi qu’à, dans la mesure du possible, soulager l’animal lorsqu’il exprime la maladie.
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