Feedback

Faculté de Médecine Vétérinaire
Faculté de Médecine Vétérinaire
Mémoire
VIEW 66 | DOWNLOAD 2

La cohabitation lapin (oryctolagus cuniculus) - cochon d'inde (cavia porcellus) représente-t-elle un risque pour la santé de ces animaux de compagnie ?

Télécharger
Prieto, Charlène ULiège
Promoteur(s) : Marlier, Didier ULiège
Date de soutenance : 27-jui-2019 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/7016
Détails
Titre : La cohabitation lapin (oryctolagus cuniculus) - cochon d'inde (cavia porcellus) représente-t-elle un risque pour la santé de ces animaux de compagnie ?
Titre traduit : [en] COHABITATION RABBIT (ORYCTOLAGUS CUNICULUS) – GUINEA PIG (CAVIA PORCELLUS) IS A HEALTH RISK FOR THESE PETS ?
Auteur : Prieto, Charlène ULiège
Date de soutenance  : 27-jui-2019
Promoteur(s) : Marlier, Didier ULiège
Membre(s) du jury : Billen, Frederic ULiège
Bolen, Geraldine ULiège
Clercx, Cecile ULiège
Merveille, Anne-Christine ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 31
Mots-clés : [fr] lapin
[fr] cochon d'inde
[fr] cohabitation
[fr] mode de vie
[fr] alimentation
[fr] maladies infectieuses
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Public cible : Chercheurs
Professionnels du domaine
Etudiants
Grand public
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Bien que l'on ne trouve que peu d'informations sur le sujet dans la littérature scientifique actuelle et que certaines questions ne soient pas totalement résolues, il est fréquent de lire que la cohabitation lapin/cochon d’inde est risquée.

Les scientifiques reconnaissent que ces animaux ont des modes de vie très différents, bien qu’ils aiment tous deux vivre en groupe, et des besoins nutritionnels qui ne sont pas exactement les mêmes, même si ce sont deux espèces herbivores.

Concernant les risques de transmission des maladies, il n’a pas été démontré de manière irréfutable que les souches de Bordetella bronchiseptica isolées des lapins puissent infecter les cochons d’inde avec ou sans signes cliniques associés. Il semblerait qu’il y ait un risque de transmission des souches d’Encephalitozoon cuniculi isolées chez les lapins vers les cochons d’inde, mais ceux-ci ne présentant pas de symptômes, ce risque est négligeable. Il est en revanche établi que les parasites Cheyletiella parasitovorax rencontrés chez les lapins seraient transmissibles aux cochons d’inde.

Les cochons d’inde, quant à eux, sont peut-être porteurs de Pasteurella multocida mais la possibilité de transmission de ces mêmes souches aux lapins n’est pas prouvée. Depuis peu, des chercheurs se sont intéressés à la bactérie Chlamydophila caviae dont les souches présentes chez les cochons d’inde sont peut-être transmissibles aux lapins.


Fichier(s)

Document(s)

File
Access Document écrit.pdf
Description:
Taille: 995.78 kB
Format: Adobe PDF
File
Access Erratum_Document écrit.pdf
Description: -
Taille: 995.07 kB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Prieto, Charlène ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Billen, Frederic ULiège Université de Liège - ULiège > Dép. clinique des animaux de compagnie et des équidés (DCA) > Pathologie médicale des petits animaux
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Bolen, Geraldine ULiège Université de Liège - ULiège > Dép. clinique des animaux de compagnie et des équidés (DCA) > Imagerie médicale
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Clercx, Cecile ULiège Université de Liège - ULiège > Dép. clinique des animaux de compagnie et des équidés (DCA) > Pathologie médicale des petits animaux
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Merveille, Anne-Christine ULiège Université de Liège - ULiège > Dép. clinique des animaux de compagnie et des équidés (DCA) > Pathologie médicale des petits animaux
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Nombre total de vues 66
  • Nombre total de téléchargements 2










Tous les documents disponibles sur MatheO sont protégés par le droit d'auteur et soumis aux règles habituelles de bon usage.
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.