Existe-t-il un lien entre l'administration thérapeutique de glucocorticoïdes et le développement de fourbure chez le cheval ?
Severin, Marion
Promoteur(s) : Amory, Helene
Date de soutenance : 27-jui-2019 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/7028
Détails
Titre : | Existe-t-il un lien entre l'administration thérapeutique de glucocorticoïdes et le développement de fourbure chez le cheval ? |
Titre traduit : | [en] Is there a link between therapeutic administration of glucocorticoids and the development of laminitis in horses ? |
Auteur : | Severin, Marion |
Date de soutenance : | 27-jui-2019 |
Promoteur(s) : | Amory, Helene |
Membre(s) du jury : | Cesarini-Latorre, Carlota
Grulke, Sigrid Votion, Dominique de la Rebiere de Pouyade, Geoffroy |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 20 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La fourbure est une pathologie inflammatoire fréquente chez les chevaux mais les causes d'apparition sont souvent multiples et donc difficiles à définir. L'administration de glucocorticoïdes est souvent mise en cause mais les articles qui traitent le sujet développent souvent des avis différents.Existe-t-il un lien réel entre l'administration du corticoïdes et l'apparition de fourbure ? Si oui, quelles sont les doses nécessaires ? Certaines molécules sont-elles plus à risques que d'autres ? Un grand nombre d'effets métaboliques des glucocorticoïdes font effectivement partie des mécanismes de développement des fourbures. Cependant il semble que ces molécules administrées à doses thérapeutiques facilitent le développement de fourbure par d'autres causes ou provoquent la fourbure lorsque le pied est déjà fragilisé mais ne déclenchent pas la patholgie seules chez des animaux sains. Il faut malgré tout rester prudent lors d'administration de triamcinolone ou de dexaméthasone, respecter les doses maximales recommandées par animal et notamment en injection systémique qui présente plus de risques que l'application locale.
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