L'observatoire de Cointe : Un bâtiment emblématique en danger
Ledoux, Aurélie
Promoteur(s) : Beguin, Aloys
Date de soutenance : 2-sep-2019/6-sep-2019 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/7334
Détails
Titre : | L'observatoire de Cointe : Un bâtiment emblématique en danger |
Auteur : | Ledoux, Aurélie |
Date de soutenance : | 2-sep-2019/6-sep-2019 |
Promoteur(s) : | Beguin, Aloys |
Membre(s) du jury : | Folville, Xavier
Frankignoulle, Pierre derclaye, Charlotte |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 144 |
Mots-clés : | [fr] Observatoire de Cointe [fr] Institut d'Astrophysique |
Discipline(s) : | Ingénierie, informatique & technologie > Architecture |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
Faculté : | Mémoires de la Faculté d'Architecture |
Résumé
[fr] En 1870, l'Université de Liège souhaite s’agrandir et élève huit Instituts dédiés à l’étude particulière d’une science. Parmi ceux-ci on retrouve l’Institut d'Astrophysique. Le bâtiment est dessiné en 1880 par l’architecte Henry Lambert Noppius dans un style néo-médiéval peu commun pour un observatoire. Il est l’une des premières constructions implantées sur la colline de Cointe, plus exactement dans un parc privé répondant à des normes urbanistiques précises.
L'Observatoire de Cointe est composé de huit édifices : la maison de l'assistant, la tour sud, le bâtiment entre les deux tours, la tour météorologique, la maison du directeur, la tour du télescope, la salle méridienne et la conciergerie. Une extension dans le style de l’architecture moderne d’entre-deux guerres est rajoutée en 1958-1959.
L'Institut d’Astrophysique de Cointe ferme ses portes en 2001 à la suite de son déménagement vers le Sart-Tilman. L’Université n’a plus les moyens d’entretenir le bâtiment et le revend à la Région wallonne afin d’y installer les services d’archéologie. Aucun projet n’a actuellement abouti et le bâtiment est toujours à l’abandon ; son délabrement progresse chaque jour. Pour y remédier, neuf millions d’euros sont estimés nécessaires à la restauration du site.
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