Utilisation de l'interféron oméga félin dans le traitement des viroses chez le chat
De Chauvelin, Bertrand
Promoteur(s) :
Dewals, Benjamin G
Date de soutenance : 30-aoû-2019 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/8133
Détails
Titre : | Utilisation de l'interféron oméga félin dans le traitement des viroses chez le chat |
Titre traduit : | [fr] Use of feline interferon omega for treatment of viral diseases in cats |
Auteur : | De Chauvelin, Bertrand ![]() |
Date de soutenance : | 30-aoû-2019 |
Promoteur(s) : | Dewals, Benjamin G ![]() |
Membre(s) du jury : | Vanderplasschen, Alain ![]() Gillet, Laurent ![]() Machiels, Bénédicte ![]() Boutier, Maxime ![]() |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] Interféron [fr] Virus [fr] Chat [fr] virose |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Chez les animaux de compagnie, les viroses affectent plus particulièrement le chat. Les vétérinaires ne disposent que d'un arsenal thérapeutique limité, avec très peu de possibilités et de molécules disponibles chez les félins. Actuellement, le traitement demeure symptomatique, long et palliatif, évoluant souvent vers la mort ou l'euthanasie de l'animal selon l'agent viral.
Il existe 5 grandes entités pathologiques virales en médecine féline que sont le syndrome d'immunodéficience félin, la leucose féline, le coryza, la péritonite infectieuse féline et la panleucopénie.
A l'heure actuelle, aucune molécule antivirale n'est enregistrée en médecine vétérinaire, l'interféron oméga félin est la seule molécule autorisée possédant des propriétés immunomodulatrices et antivirales. Initialement, il est indiqué chez le chat dans le traitement du SIDA félin et de la leucose féline.
A travers une étude de la littérature, nous avons tenté d'objectiver l'efficacité de l'interféron oméga félin dans le traitement de ces maladies virales chez le chat.
Particulièrement onéreux, et en l'absence d’un réel consensus, les interférons demeurent peu utilisés chez le chat. Pourtant, au vu de leurs effets cliniques, ils pourraient changer l'approche thérapeutique de ces maladies, la durée et la qualité de vie de l'animal.
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