Quel impact la fraterie peut-elle avoir sur le développement de l’empathie chez des enfants âgés de 7 à 12 ans ?
Gonay, Virginie
Promoteur(s) :
Blavier, Adelaïde
Date de soutenance : 8-sep-2015 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/882
Détails
Titre : | [fr] Quel impact la fraterie peut-elle avoir sur le développement de l’empathie chez des enfants âgés de 7 à 12 ans ? |
Auteur : | Gonay, Virginie ![]() |
Date de soutenance : | 8-sep-2015 |
Promoteur(s) : | Blavier, Adelaïde ![]() |
Membre(s) du jury : | Pérée, Francis ![]() Barsics, Catherine ![]() |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 83 |
Commentaire : | 0 annexe |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] L’objet principal de notre étude concerne le développement de l’empathie chez l’enfant âgé entre 7 et 12 ans. Plus particulièrement, nous nous sommes intéressés à l’étude des facteurs qui peuvent influencer ce développement. Nous avons pu relever trois composantes de l’empathie, une cognitive, une affective et une environnementale, chacune avec leur degré d’influence. Les facteurs les plus déterminants semblent être la qualité éducative des parents et de la qualité des relations parents-enfant. Mais qu’en est-il de la relation fraternelle ? Nous avons tenté de répondre à cette question grâce à deux questionnaires mesurant l’empathie : le test CEC (contagion, empathie et coupure) et le test de Bryant. Cependant, nos analyses statistiques ont souvent donné des résultats opposés, ou du moins en partie, à nos hypothèses de départ. Notamment en ce qui concerne le sens de la corrélation entre le nombre de frères et soeurs et le score empathique, qui s’est avérée être négative. Malgré tout, nous pensons avoir mis les éléments cliniques importants et pertinents en avant ainsi que de nouvelles pistes thérapeutiques à explorer car il est certain que l’empathie, étant une compétence sociale cruciale chez l’être humain, la défaillance de ses processus provoque, presque inévitablement, des troubles relationnels.
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