Kowialiewski, Benjamin
Promotor(s) :
Majerus, Steve
Date of defense : 2-Sep-2015 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/907
Details
Title : | [fr] Les substrats neuronaux de la cognition spontanée lors de l’état de veille |
Author : | Kowialiewski, Benjamin ![]() |
Date of defense : | 2-Sep-2015 |
Advisor(s) : | Majerus, Steve ![]() |
Committee's member(s) : | Collette, Fabienne ![]() Laureys, Steven ![]() |
Language : | French |
Number of pages : | 64 |
Commentary : | 5 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en neuroscience cognitive et comportementale |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Le développement des techniques d’imagerie cérébrale réalisé ces dernières années a per-mis d’identifier plusieurs réseaux cérébraux actifs lorsque nous sommes au repos. En dépit du nombre croissant d’études réalisées sur ces réseaux, nous ne savons toujours pas exac-tement la raison pour laquelle ils sont présents. Le but de la présente étude est de tester, à l’aide de la technique d’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle, l’hypothèse que l’activité de ces réseaux correspond à une cognition émergeant de manière spontanée lors-que nous sommes au repos, et n’est pas liée à de simples principes d’origine neurophysio-logique. Ce travail s’intéresse plus particulièrement au réseau attentionnel ventral, impliqué dans l’attention automatique lors de tâches. Pour ce faire, il a été utilisé une méthode de récolte de donnée directe et immédiate, dans laquelle les sujets sont invités à classer leurs expériences cognitives à un moment donné lorsqu’ils sont au repos. Afin d’augmenter artificiellement l’apparition des états d’attention automatique, des distracteurs auditifs ont été introduits à l’insu des sujets. Les résultats comportementaux suggèrent que les distracteurs auditifs n’ont pas eu d’impact direct sur les états attentionnels automatiques, en dépit du fait que ces derniers aient été assez fréquents pour pouvoir être analysés à l’aide des outils de neuroimagerie. Aucune région cérébrale attendue en lien avec les hypothèses de départ n’a été trouvée lors des analyses de neuroimagerie. Seule une région cérébrale située au niveau du gyrus précentral gauche montre une activité significative lorsque les sujets rapportent avoir eu des pensées.
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