La culture ex-ovo : un outil primordial pour la préservation des espèces aviaires. Comment améliorer la technique ?
Guillou, Charlène
Promoteur(s) : Grobet, Luc
Date de soutenance : 2-jui-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/9558
Détails
Titre : | La culture ex-ovo : un outil primordial pour la préservation des espèces aviaires. Comment améliorer la technique ? |
Auteur : | Guillou, Charlène |
Date de soutenance : | 2-jui-2020 |
Promoteur(s) : | Grobet, Luc |
Membre(s) du jury : | Gabriel, Annick
Dubois, Axel Dourcy, Mickael Vandenput, Sandrina Jauniaux, Thierry |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] culture ex-ovo, [fr] cryoconservation [fr] cellules germinales primordiales [fr] embryon aviaire |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants |
URL complémentaire : | guilloucharlene@skynet.be |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La sélection des espèces aviaires, dans le but d’augmenter le rendement poids carcasse, a grandement contribué à la perte de biodiversité. En conséquence, notre biodiversité s’appauvrit peu à peu, comment pouvons-nous y remédier ?
La culture ex-ovo apparaît être une solution. En effet, celle-ci permettrait la manipulation embryonnaire précoce. Ce procédé offre bien d’autres possibilités : manipulation du génome aviaire, biologie du développement, neurologie, oncologie ...
Malgré toutes les perspectives que la culture ex-ovo peut offrir, celle-ci pose encore des problèmes. C’est pourquoi, nous nous sommes demandés, comment cette technique pouvait-être perfectionnée ? Cette réflexion vise à améliorer la technique, afin d’obtenir des éclosions de poussins ex-ovo. Mais aussi, de parvenir à augmenter le pourcentage de poussins nés ex-ovo.
Dans cette étude, on a donc décidé de faire varier différents paramètres : réceptacle de l’embryon, quantité d’albumen, temps de préincubation avant transfert, complémentation en carbonate ou lactate de calcium dans 2 groupes distincts.
Nos résultats ont montré l’importance d’un transfert en réceptacle artificiel à environ 50h de préincubation. Mais aussi, que la quantité d’albumen ajoutée et le type de réceptacle artificiel n’ont pas montré un réel avantage. En revanche, il a été observé qu’une quantité d’albumen suffisante permettrait une meilleure flottabilité du jaune et donc un meilleur retournement de l’embryon lors du transfert. La viabilité de l’embryon au cours de l’incubation, ne semble pas être influencé par le choix du supplément en calcium (lactate ou carbonate de calcium). En effet, le test de Fisher a montré qu’il n’y avait pas de différence significative entre les deux groupes,
(Pvalue < 0.05).
Cette étude nous enseigne que des pistes restent encore à trouver pour améliorer cette technique.
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