L'atrophie rétinienne progressive, une maladie incurable mais jusqu'à quand ?
Leroux, Hildegarde
Promotor(s) :
Garigliany, Mutien-Marie
Date of defense : 2-Jul-2020 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/9564
Details
Title : | L'atrophie rétinienne progressive, une maladie incurable mais jusqu'à quand ? |
Translated title : | [en] The progressive retinal atrophy, an incurable disease but until when ? |
Author : | Leroux, Hildegarde ![]() |
Date of defense : | 2-Jul-2020 |
Advisor(s) : | Garigliany, Mutien-Marie ![]() |
Committee's member(s) : | Delguste, Catherine ![]() Desmecht, Daniel ![]() Cassart, Dominique ![]() Antoine, Nadine ![]() Toppets, Vinciane ![]() |
Language : | French |
Number of pages : | 39 |
Keywords : | [fr] Atrophie rétinienne progressive, thérapie |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] Le terme d’atrophie rétinienne progressive a été redéfini et n’inclut désormais que les maladies touchant les photorécepteurs de la rétine. Cette maladie étant incurable, une revue de la littérature depuis 2004 a été effectuée afin de mettre en lumière des traitements. Les résultats de ce travail ont permis d’identifier quatre perspectives thérapeutiques. La thérapie génique est la plus documentée et consiste à introduire du matériel génétique dans les cellules rétiniennes pour compenser l’action de gènes fonctionnant anormalement. Si les résultats sont concluants, la diversité des mutations entraine la nécessité d’adapter la thérapie à chaque cas. Ainsi, la complexité de sa mise en oeuvre peut limiter l’application aux chiens. La supplémentation en vitamine A et en inhibiteurs de canaux calciques a été également investiguée. Cependant ces études ont porté uniquement sur des souris et demandent de nouveaux tests avant d’être appliqué sur des chiens. L’implant rétinien mis en place sur des patients humains donne de bons résultats. Néanmoins, il fonctionne en se rechargeant derrière l’oreille et ce qui soulève le problème de la mise en place d’un tel implant chez un chien qui risque de le retirer. Les cellules souches transplantées dans la rétine restent donc l’option thérapeutique la plus prometteuse. Les résultats sur les humains sont encourageants. De plus la chirurgie serait la même quel que soit le chien et sa mutation ce qui rend donc ce traitement plus accessible. Ainsi, même si la maladie demeure incurable, les travaux que nous avons présentés montrent une avancée vers la guérison.
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