L'association de la radiologie et de l'imagerie par résonance magnétique présente-t-elle un intérêt dans le diagnostic du syndrome naviculaire ?
Carlet, Pauline
Promoteur(s) : Gabriel, Annick
Date de soutenance : 2-jui-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/9574
Détails
Titre : | L'association de la radiologie et de l'imagerie par résonance magnétique présente-t-elle un intérêt dans le diagnostic du syndrome naviculaire ? |
Titre traduit : | [en] Is the combination of radiology and magnetic resonance imaging useful in the diagnosis of navicular disease? |
Auteur : | Carlet, Pauline |
Date de soutenance : | 2-jui-2020 |
Promoteur(s) : | Gabriel, Annick |
Membre(s) du jury : | Dubois, Axel
Grobet, Luc Dourcy, Mickael Vandenput, Sandrina Jauniaux, Thierry |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 34 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Depuis longtemps, le syndrome naviculaire est une pathologie connue dans le
monde vétérinaire. Elle affecte de nombreux chevaux de loisirs tout comme des chevaux de
compétition. Cependant, elle reste une maladie qui présente encore de nombreuses incertitudes
quant à son étiopathogénie, son diagnostic et son traitement.
A travers ce travail de fin d’études, nous aborderons le lieu d’origine de la maladie, à savoir
l’extrémité digitée du cheval. Je rappellerai quelques notions anatomiques et biomécaniques
sur cette partie de l’équidé. Ensuite, nous mettrons en évidence les lésions histologiques les
plus fréquemment rencontrées lorsqu’un cheval souffre de cette pathologie. Suite à cela, nous
nous pencherons sur les deux techniques d’imagerie : la radiologie et la résonance magnétique.
Nous verrons quelles anomalies visibles ces deux techniques permettent de relever et le
diagnostic de maladie qu’elles peuvent poser. L’objectif est d’analyser l’intérêt d’associer ces
deux méthodes lorsqu’un praticien équin est confronté à ce syndrome.
Enfin, deux cas cliniques seront présentés afin d’illustrer la pratique de terrain et de réfléchir
sur la question de l’association de ces deux techniques d’imagerie.
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