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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire

Étude clinique et épidémiologique de la dirofilariose (Dirofilaria immitis) sur l'île de Grande Canarie

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Collomb, Cheyenne ULiège
Promoteur(s) : Bureau, Fabrice ULiège
Date de soutenance : 2-jui-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/9592
Détails
Titre : Étude clinique et épidémiologique de la dirofilariose (Dirofilaria immitis) sur l'île de Grande Canarie
Titre traduit : [en] Clinical and epidemiological survey of dirofilariasis (Dirofilaria immitis) on the island of Gran Canaria
Auteur : Collomb, Cheyenne ULiège
Date de soutenance  : 2-jui-2020
Promoteur(s) : Bureau, Fabrice ULiège
Membre(s) du jury : Desmet, Christophe ULiège
Pirottin, Dimitri ULiège
Schurmans, Stephane ULiège
Langue : Français
Mots-clés : [fr] Dirofilaria immitis
[fr] Dirofilariose
[fr] Grande Canarie
[fr] Chiens
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Introduction : La dirofilariose est une maladie parasitaire peu connue en Belgique avec uniquement des cas importés de pays où cette maladie sévit. Pourtant, c’est une maladie de distribution mondiale. La dirofilariose est une maladie qui touche un grand nombre de pays Européens et qui dépend surtout de l’environnement et du microclimat de la région. Cette étude clinique et épidémiologique va se porter sur une île hyperendémique de la maladie, la Grande Canarie sur ces 5 dernières années et on va comparer son évolution avec les données retrouvées dans la littérature.
Méthode : On inclue dans cette étude 204 chiens positifs et 621 négatifs à Dirofilaria immitis. Six d’entre eux ont été exclu au vu de leur maladie concomitante. Les données épidémiologiques ont été récoltés ainsi que des données cliniques.
Résultats : Les résultats sont de 24,73% avec des variations entre les années 2016 et 2018 mais une stabilité durant les deux dernières années. Les séroprévalences varient en fonction des différents types de climats présents sur l’île. On observe une différence significative en fonction de l’âge, de l’environnement dans lequel le chien vit (intérieur, extérieur) et de la prise ou non de traitement prophylactique. L’étude clinique quant à elle nous montre une prédominance des classe 2 avec une variation importante dans la manifestation des signes cliniques. Une hypertension pulmonaire un mois après la dernière injection est fréquemment rencontrées chez les chiens de classe 2 et 3. La moitié des classe 4 sont euthanasiées.


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Access COLLOMB_Cheyenne_TFE_FMV_juin2020_définitif.pdf
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Access Erratum_COLLOMB_Cheyenne_TFE_FMV_juin2020_définitif.pdf
Description: -
Taille: 115.71 kB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Collomb, Cheyenne ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Desmet, Christophe ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences fonctionnelles (DSF) > Département des sciences fonctionnelles (DSF)
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  • Pirottin, Dimitri ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences fonctionnelles (DSF) > Département des sciences fonctionnelles (DSF)
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  • Schurmans, Stephane ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences fonctionnelles (DSF) > Biochimie métabolique vétérinaire
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