Comparaison des différentes méthodes diagnostiques et de prise en charge, de la pancréatite aigu chez le chien
Mertz, Vinciane
Promoteur(s) : Antoine, Nadine
Date de soutenance : 2-jui-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/9755
Détails
Titre : | Comparaison des différentes méthodes diagnostiques et de prise en charge, de la pancréatite aigu chez le chien |
Titre traduit : | [fr] Comparison of different diagnostic methods and treatment of acute pancreatitis in dogs |
Auteur : | Mertz, Vinciane |
Date de soutenance : | 2-jui-2020 |
Promoteur(s) : | Antoine, Nadine |
Membre(s) du jury : | Delguste, Catherine
Desmecht, Daniel Cassart, Dominique Garigliany, Mutien-Marie Toppets, Vinciane |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La pancréatite aigu chez les chiens est une pathologie de plus en plus courante. Mais dans de nombreux cas, elles restent sous diagnostiquées, notamment lors de pancréatites légères et subcliniques. La pancréatite aigu est réversible, à condition qu’elle soit traitée et que les déclencheurs initiaux ne persistent pas dans le temps, auquel cas, la pancréatite aigu devient une pancréatite chronique.
Les signes cliniques sont souvent frustres et vont dépendre de la gravité de l’atteinte. Le diagnostic différentiel est large, ralentissant une bonne prise en charge de l’animal. Les complications qui en découlent peuvent être dramatiques. Le taux de mortalité varient entre 27% et 58%.
Le résultat de ce travail, conclut qu’il faudrait allier dans le meilleur des cas, 3 techniques de diagnostic, le scanner pour l’imagerie, le dosage de la PLI ainsi qu’un prélèvement pour l’histopathologie. Si les moyens financiers et la volonté des propriétaires ne sont pas présents, on peut s’orienter vers des techniques moins onéreuses mais aussi moins précises, soit une échographie, un SNAP test et une cytologie.
Pour la prise en charge, on s’oriente vers un nouveau consensus. L’instauration d’antibiotique n’est plus unanime et ne devrait être mis en place que lorsque des signes d’une complication septique apparaissent. Tout comme l’utilisation de corticostéroïde, qui était avant considéré comme un traitement aggravant, permet dans une étude récente, une amélioration clinique significative des animaux.
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