Métaux lourds dans le poisson consommé en Belgique : le cas du mercure
Benkirane, Sofia
Promoteur(s) :
Scippo, Marie-Louise
Date de soutenance : 2-jui-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/9759
Détails
Titre : | Métaux lourds dans le poisson consommé en Belgique : le cas du mercure |
Auteur : | Benkirane, Sofia ![]() |
Date de soutenance : | 2-jui-2020 |
Promoteur(s) : | Scippo, Marie-Louise ![]() |
Membre(s) du jury : | Clinquart, Antoine ![]() Daube, Georges ![]() Korsak, Nicolas ![]() Delcenserie, Veronique ![]() Douny, Caroline ![]() |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Ce travail pose la problématique de la contamination du poisson au mercure et plus particulièrement au méthylmercure. Le mercure fait en effet partie des contaminants chimiques pouvant se retrouver dans les denrées alimentaires sous forme d’élément trace métallique. Le poisson représente par ailleurs la source majeure d’exposition au méthylmercure, qui est considéré comme neurotoxique et tératogène. De ce fait, il représente un des nombreux enjeux de santé publique et fait l’objet d’une analyse de risque élaborée par plusieurs institutions européennes et nationales. C’est ainsi que le cœur principal de ce travail repose sur le développement de l’analyse du risque lié à la présence de mercure dans le poisson consommé : il s’agit plus précisément de l’évaluation du risque, de la gestion du risque, de la communication du risque et des différents acteurs qui y participent. Pour la Belgique, l’évaluation du risque liée à la présence de mercure dans le poisson permet de conclure que la consommation de poisson ne constitue pas un risque palpable pour le consommateur. En termes de gestion du risque, la Commission européenne a elle instauré des textes législatifs précis fixant la teneur en mercure maximale dans le poisson à 0,5 mg/kg ou 1 mg/kg selon l’espèce. D’autres institutions ont aussi un rôle dans la gestion et la communication du risque via par exemple la mise en place de rappels de produits et de notifications accessibles aux consommateurs. Enfin, la dernière partie qui expose l’étude risque/bénéfice liée à la consommation de poisson révèle que le bénéfice à consommer du poisson est supérieur au risque qu’il fait encourir, tant pour les adultes que les enfants.
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