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Étude de la propagation d'une nappe de pétrole au large des îles Canaries

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Romanelli, Hugo ULiège
Promoteur(s) : Beckers, Jean-Marie ULiège
Date de soutenance : 23-jui-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/11768
Détails
Titre : Étude de la propagation d'une nappe de pétrole au large des îles Canaries
Titre traduit : [fr] Study of the spread of an oil slick off the Canary Islands
Auteur : Romanelli, Hugo ULiège
Date de soutenance  : 23-jui-2021
Promoteur(s) : Beckers, Jean-Marie ULiège
Membre(s) du jury : Barth, Alexander ULiège
Troupin, Charles ULiège
Lejeune, Pierre 
Langue : Français
Nombre de pages : 68
Mots-clés : [fr] Hydrocarbures
[fr] Modélisation
[fr] OpenOil
[fr] Déversement
Discipline(s) : Physique, chimie, mathématiques & sciences de la terre > Sciences de la terre & géographie physique
Centre(s) de recherche : GHER
Public cible : Chercheurs
Professionnels du domaine
Etudiants
Grand public
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en océanographie, à finalité approfondie
Faculté : Mémoires de la Faculté des Sciences

Résumé

[fr] Des simulations avec le modèle lagrangien OpenOil ont été effectuées dans le but d’étudier
la propagation d’une nappe de pétrole du type IFO180 dans le cadre d’un hypothétique accident
pétrolier au large des îles Canaries. L’étude se concentre sur la zone comprise entre les îles de
Fuerteventura et Lanzarote jusqu’au continent nord-ouest africain. OpenOil inclut des forçages
hydrodynamiques via le modèle IBI (Région Ibérique-Biscaye-Irlandaise) à 1/36° de résolution
horizontale et des champs de vents ECMWF (European Centre for Medium-Range Weather) à
un 1/4° de résolution horizontale. Les simulations ont montré que Fuerteventura et Lanzarote
pouvaient être touchées de manière distincte suivant la saison. Trente-deux simulations ont été
faites durant la période mai 2019-2021 avec 4 points de déversements par saison. Cependant,
une forte variabilité interannuelle a pu être constatée exceptée lors des étés. Pour la plupart des
événements, si le temps écoulé avant l’impact est supérieur à 24h, la fraction de masse échouée
est faible (<7.3%). Par conséquent, l’ampleur des risques environnementaux dépend du temps
passé en mer par le pétrole.


Fichier(s)

Document(s)

File
Access Master_Thesis_2021_Romanelli_Hugo.pdf
Description:
Taille: 3.46 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Romanelli, Hugo ULiège Université de Liège > Master en océanogra., à fin.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Barth, Alexander ULiège Université de Liège - ULiège > Département d'astrophys., géophysique et océanographie (AGO) > GeoHydrodynamics and Environment Research (GHER)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Troupin, Charles ULiège Université de Liège - ULiège > Département d'astrophys., géophysique et océanographie (AGO) > GeoHydrodynamics and Environment Research (GHER)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Lejeune, Pierre STARESO
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