Contribution à l’étude de la physiopathologie de l’endométriose et de son diagnostic non-invasif
Squatrito, Marlyne
Promoteur(s) : Munaut, Carine ; NISOLLE, Michelle
Date de soutenance : 6-jui-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/12468
Détails
Titre : | Contribution à l’étude de la physiopathologie de l’endométriose et de son diagnostic non-invasif |
Titre traduit : | [en] Contribution to the study of the pathophysiology of endometriosis and its non-invasive diagnosis |
Auteur : | Squatrito, Marlyne |
Date de soutenance : | 6-jui-2021 |
Promoteur(s) : | Munaut, Carine
NISOLLE, Michelle |
Membre(s) du jury : | Herfs, Michael
JOSSE, Claire De Tullio, Pascal |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 49 |
Mots-clés : | [fr] Endométriose [fr] microARN [fr] physiopathologie [fr] Métabolomique [fr] BCL6 [fr] Infertilité |
Discipline(s) : | Sciences de la santé humaine > Médecine de laboratoire & technologie médicale Sciences de la santé humaine > Médecine de la reproduction (Gynécologie, andrologie, obstétrique) |
Centre(s) de recherche : | Laboratoire de Biologie des Tumeurs et du Développement |
Intitulé du projet de recherche : | Contribution à l'étude de la physiopathologie de l'endométriose et de son diagnostic non-invasif |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences biomédicales, à finalité approfondie |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine |
Résumé
[fr] L’endométriose est une maladie gynécologique lourdement invalidante qui touche 10 à 15% des femmes en âge de procréer. Il s’agit d’une pathologie au cours de laquelle des cellules de l’endomètre vont se loger en dehors de l’utérus. Dans ce nouvel environnement, les cellules provoquent des lésions responsables de violentes douleurs souvent décrites par les femmes touchées par l’endométriose. Au-delà des conséquences sur la santé, l’endométriose a de lourdes répercussions sur la vie sociale, professionnelle et intime des femmes. Une problématique importante liée à cette pathologie est l’incapacité pour les cliniciens d’établir un diagnostic précoce et non-invasif permettant de proposer une option thérapeutique adaptée. En effet, à l’heure actuelle, seule la cœlioscopie avec confirmation anatomopathologique est proposée comme méthode de diagnostic fiable de l’endométriose. Ce manque de méthode de diagnostic précoce et non-invasif peut en partie être expliqué par de faibles connaissances sur le processus physiopathologique ainsi que par le manque de spécificité de la symptomatologie de l’endométriose. Au cours du présent travail, nous avons étudié d’une part l’implication de BCL6, un facteur surexprimé dans l’endomètre des patientes atteintes d’endométriose, dans la physiopathologie de la maladie. D’autre part, nous avons tenté d’identifier si ce facteur pourrait être proposé comme biomarqueur tissulaire de l’endométriose. En parallèle, nous avons participé à la validation d’une méthode innovante de diagnostic non-invasif couplant la métabolomique au dosage de microARNs circulants.
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