L'homophobie comme épisode de vie stressant pouvant mener à la dépendance. Enquête quantitative sur l'éventuel impact des agressions homophobes sur le développement de symptômes d'un état de stress post-traumatique et sur des addictions à l'alcool et aux drogues dans la communauté LGBT+
Boboc, Alexandra
Promotor(s) : Blavier, Adelaïde
Date of defense : 30-Aug-2021/7-Sep-2021 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/13370
Details
Title : | L'homophobie comme épisode de vie stressant pouvant mener à la dépendance. Enquête quantitative sur l'éventuel impact des agressions homophobes sur le développement de symptômes d'un état de stress post-traumatique et sur des addictions à l'alcool et aux drogues dans la communauté LGBT+ |
Author : | Boboc, Alexandra |
Date of defense : | 30-Aug-2021/7-Sep-2021 |
Advisor(s) : | Blavier, Adelaïde |
Committee's member(s) : | Messina, Roberta
Destiné, Lucie |
Language : | French |
Number of pages : | 87 |
Keywords : | [fr] Communauté LGBT+ [fr] impact de l'homophobie [fr] addictions [fr] symptômes d'un état de stress post-traumatique |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Treatment & clinical psychology |
Name of the research project : | L'homophobie comme épisode de vie stressant pouvant mener à la dépendance. Enquête quantitative sur l'éventuel impact des agressions homophobes sur le développement de symptômes d'un état de stress post-traumatique et sur des addictions à l'alcool et aux drogues dans la communauté LGBT+. |
Target public : | General public |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Ce mémoire a pour objectif de découvrir si les agressions que peuvent vivre les homosexuel/les à cause de leur orientation sexuelle, répétées ou non, peuvent amener au développement de symptômes d’un état de stress post-traumatique. On essaye également de voir si ces symptômes d’ESPT peuvent amener à une consommation d’alcool et de drogues problématique.
Pour mener à bien ce projet, nous avons recruté 106 participants homosexuel/les, ayant vécu une ou plusieurs agressions homophobes et ayant entre 18 et 29 ans. Ils ont tous répondu à 3 questionnaires qui sont le PCL-S concernant l’ESPT, l’AUDIT qui se concentre sur la consommation d’alcool et enfin le DAST-10 qui s’intéresse à la consommation de drogues.
Les résultats ont montré que deux groupes d’études se dégagent : le groupe A, représentant les homosexuel/les ayant vécu une ou plusieurs agressions en lien avec leur orientation sexuelle et n’ayant pas développé/es de symptômes d’ESPT, contenant 31 sujets, et le groupe B, qui représente les homosexuel/les ayant vécu une ou plusieurs agressions en lien avec leur orientation sexuelle et ayant développé/es des symptômes d’ESPT, qui contient 75 sujets.
Lorsque nous avons comparé ces deux groupes, nous avons pu constater que le groupe B a une consommation d’alcool plus problématique que le groupe A, mais que le groupe A a une consommation plus problématique de drogues que le groupe B.
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Cite this master thesis
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