Peut-on déconnecter un habitat léger des impétrants en Wallonie ? Analyse de la faisabilité de l'autonomie en énergie et en eau
Séleck, Aurélien
Promotor(s) : Monfils, Stéphane ; Scholzen, Frank
Date of defense : 28-Jun-2022 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/14924
Details
Title : | Peut-on déconnecter un habitat léger des impétrants en Wallonie ? Analyse de la faisabilité de l'autonomie en énergie et en eau |
Author : | Séleck, Aurélien |
Date of defense : | 28-Jun-2022 |
Advisor(s) : | Monfils, Stéphane
Scholzen, Frank |
Committee's member(s) : | Jupsin, Hugues
Thomas, Sébastien |
Language : | French |
Number of pages : | 131 |
Keywords : | [fr] habitat léger, législation, autonomie, énergie, eau, environnement, durable [en] tiny house, legislation, autonomy, energy, water, environment, sustainable |
Discipline(s) : | Engineering, computing & technology > Energy Life sciences > Environmental sciences & ecology Law, criminology & political science > Public law |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences et gestion de l'environnement, à finalité spécialisée en énergies renouvelables et bâtiments durables |
Faculty: | Master thesis of the Faculté des Sciences |
Abstract
[fr] Un nouveau type d’habitat séduit en Wallonie, c’est l’émergence de l’habitat léger. Pour des raisons personnelles, écologiques ou financières, il y a une volonté d’un retour à la nature. Pourtant, hormis les habitats légers à vocation touristique ou professionnelle, cette manière d’habiter fait peur aux pouvoirs publiques. Jusqu’en 2019, un vide juridique subsistait mais cette reconnaissance de l’habitat léger dans le champ d’application juridique wallon ne suffit pas. Ces habitats alternatifs ne peuvent pas s’implanter n’importe où et doivent respecter des normes contraignantes. Des divergences entre les législations persistent.
De plus, l’épuisement des ressources primaires et la hausse du prix des énergies poussent certains habitats légers à l’autonomie en eau et en énergie. Cette déconnexion des impétrants comporte des points d’attention, légalement d’une part, techniquement d’autre part. Dès lors, on s’interroge sur la faisabilité des techniques qui peuvent être mises en place et sur la légalité d’une telle déconnexion des impétrants.
[en] A new type of housing is appealing in Wallonia, it’s the emergence of tiny houses. For personal, ecological or financial reasons, there’s a desire for a return to nature. However, apart from tiny houses for tourism or professional use, this way of living frightens the public authorities. Until 2019, a legal vacuum remained but this recognition of tiny houses in the legal scope is not enough. These alternative houses cannot be set up anywhere and must follow binding standards. Divergences between laws persist.
In addition, the depletion of primary resources and the rise in energy prices are pushing some tiny houses to be self-sufficient in water and energy. This disconnection of the networks has points of attention, legally on the one hand, technically on the other. Therefore, we wonder about the feasibility of the techniques that can be put in place and about the legality of such a disconnection of the networks.
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