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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire
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Comment expliquer un faible risque de développement de tumeurs chez les éléphants ?

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Suzanne, Florian ULiège
Promoteur(s) : Antoine, Nadine ULiège
Date de soutenance : 26-aoû-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/15185
Détails
Titre : Comment expliquer un faible risque de développement de tumeurs chez les éléphants ?
Auteur : Suzanne, Florian ULiège
Date de soutenance  : 26-aoû-2022
Promoteur(s) : Antoine, Nadine ULiège
Membre(s) du jury : Cassart, Dominique ULiège
Desmecht, Daniel ULiège
Delguste, Catherine ULiège
Garigliany, Mutien-Marie ULiège
Toppets, Vinciane ULiège
Langue : Français
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Les éléphants, les plus grands mammifères terrestres de notre planète, sont des animaux dont il est cohérent d’imaginer qu’un très grand nombre de cellules composent leur organisme. Cela pourrait nous laisser penser qu’ils sont plus propices à développer des tumeurs. Tout comme leur longévité de 60 à 70 ans corrélerait avec l’idée qu’un animal vivant plus longtemps risque de développer plus de mutations génétiques qui lui soient délétères et seraient à l’origine de tumeurs. Chez les mammifères, ces règles ne sont pas d’application. C’est le constat qu’en a fait Richard Peto (paradoxe de Peto). La réalité en est en effet toute autre puisqu’il semblerait que les éléphants possèdent des mécanismes plus efficaces pour détecter le développement de tumeur et ainsi en limiter leur expansion.

En effet, des particularités dans leur génome et des mécanismes cellulaires seraient à l’origine de cette explication qui permettraient aux éléphants d’être relativement « protégés » contre les cancers. D’autres facteurs de protection comme un métabolisme lent qui limitent les erreurs dans la duplication cellulaire participe au plan de lutte contre les tumeurs.

De part son modèle génétique, l’éléphant inspire les axes de recherches de traitements contre le cancer chez l’Homme.


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Description:
Taille: 2.81 MB
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Auteur

  • Suzanne, Florian ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Cassart, Dominique ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Département de morphologie et pathologie (DMP)
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  • Desmecht, Daniel ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Pathologie spéciale et autopsies
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  • Delguste, Catherine ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences de la santé publique > Département des sciences de la santé publique
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Garigliany, Mutien-Marie ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Pathologie générale et autopsies
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Toppets, Vinciane ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > FARAH: Santé publique vétérinaire
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