Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Le partage non-consensuel d'images intimes et l'attribution de la faute au sein d'un échantillon 15-25 ans (données quantitatives)."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Loiseau, Marie
Promoteur(s) : Mathys, Cécile
Date de soutenance : 23-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17111
Détails
Titre : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Le partage non-consensuel d'images intimes et l'attribution de la faute au sein d'un échantillon 15-25 ans (données quantitatives)."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Loiseau, Marie |
Date de soutenance : | 23-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Mathys, Cécile |
Membre(s) du jury : | Damit, Camille
Gangi, Océane |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] partage d’images non consensuel [fr] transfert [fr] envoi [fr] nudes [fr] GBAI |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie à finalité spécialisée en organisations criminelles et analyse du crime |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Contexte : L’émergence des nouvelles technologies poussent de plus en plus de jeunes à envoyer des photos, nu ou mi-nu. L’envoi de ces photos peut avoir des conséquences douloureuses, ce qui en devient un sujet de plus en plus préoccupant dans notre société.
Objectif : Cette étude examine la façon selon laquelle les jeunes, de 15 à 25ans, perçoivent le partage non consensuel d’images, selon leurs caractéristiques socio-démographiques et leurs propres conduites face à ce partage non consensuel.
Méthode : le GBAI (Gudjonsson Blame Attribution Inventory-Revised ) a été attribué à 181 jeunes de 15 à 25 ans. De plus, des questions socio démographiques et des questions personnelles sur leur rapport aux nudes ont été posées lors d’un questionnaire administré.
Résultats : Une personne sur dix de l’échantillon a déjà transféré un nude de quelqu’un sans son consentement. 26% des hommes et 3% des femmes. En ce qui concerne l’envoi de nudes, leurs pourcentages sont les mêmes. Enfin, les participants montrent un sentiment de culpabilité élevé et remettent plus la faute sur la santé mentale que sur les choses externes telles que la victime ou la société.
Conclusion : Il faudrait mettre en place des préventions axées sur les auteurs et leurs perceptions d’eux-mêmes.
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