L'inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap : le cas du handicap visuel
Schoonbrood, Manon
Promoteur(s) : Cornet, Annie
Date de soutenance : 20-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17275
Détails
Titre : | L'inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap : le cas du handicap visuel |
Auteur : | Schoonbrood, Manon |
Date de soutenance : | 20-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Cornet, Annie |
Membre(s) du jury : | Simon, Matthieu
Ghesquière, Véronique |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 73 |
Mots-clés : | [fr] Handicap [fr] Discrimination [fr] Aménagements raisonnables [fr] Inclusion [fr] Quota d'embauche [fr] Aides publiques |
Discipline(s) : | Sciences économiques & de gestion > Multidisciplinaire, généralités & autres |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences de gestion, à finalité spécialisée en droit |
Faculté : | Mémoires de la HEC-Ecole de gestion de l'Université de Liège |
Résumé
[fr] La question de l’inclusion des personnes en situation de handicap sur le marché du travail a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années. Le handicap engendre un impact global sur la vie des personnes touchées et notamment dans la sphère professionnelle.
Ce travail présente, dans un premier temps, les dispositifs légaux mis en place en Belgique pour encadrer l’évolution du travailleur porteur d’un handicap dans le monde professionnel. Une comparaison a ensuite été bâtie avec le système français, en insistant sur le dispositif de l’obligation d’embauche de 6% de travailleurs handicapés, imposé par la loi du 11 février 2005.
En analysant ensuite les théories de divers spécialistes, la situation professionnelle actuelle des personnes aveugles et malvoyantes a été décrite et les causes de la sous-représentation des personnes en situation de handicap sur le marché de l’emploi, étudiées. Celles-ci résultent principalement de la moindre productivité du travailleur handicapé, et de sa capacité à communiquer au sujet de son handicap (causes individuelles), de l’environnement organisationnel et des perceptions de l’employeur au sujet du handicap (facteurs organisationnels), ou encore des difficultés en termes de mobilité et de scolarité des personnes en situation de handicap (causes sociétales).
Ces théories ont ensuite été confrontées à la réalité, et plus précisément au cas du handicap visuel, au travers d’interviews réalisées auprès de personnes aveugles et malvoyantes ainsi que de spécialistes travaillant à l’intégration professionnelle des personnes en situation de handicap.
Cette dernière étape a permis de souligner les faiblesses du système belge et de formuler quelques pistes d’améliorations pour l’avenir.
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