Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études : "Les représentations et l'acceptabilité de la population vis-à-vis des Salles de Consommation à Moindre Risque."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Compes, Marie-Emilie
Promoteur(s) : Seron, Vincent
Date de soutenance : 24-aoû-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/18511
Détails
Titre : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études : "Les représentations et l'acceptabilité de la population vis-à-vis des Salles de Consommation à Moindre Risque."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Compes, Marie-Emilie |
Date de soutenance : | 24-aoû-2023 |
Promoteur(s) : | Seron, Vincent |
Membre(s) du jury : | Poulin, Jérôme
El Guendi, Sarah |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] Salles de consommation à moindre risque [fr] représentations [fr] avis [fr] acceptabilité [fr] population générale [fr] connaissances [fr] drogue [fr] consommateurs [fr] toxicomanes. |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie à finalité spécialisée en organisations criminelles et analyse du crime |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] En 1986, à Berne, la première salle de consommation à moindre risque est officiellement reconnue. Ce dispositif fait notamment suite à l'explosion du VIH, provoquée entre autres par la consommation de drogue par injection. Depuis lors, de nombreuses salles ont ouvert en Europe et dans le monde.
Du côté du monde scientifique, plusieurs recherches ont été menées pour connaître l'efficacité de ces salles, mais également pour recueillir l'avis des professionnels de la santé et des consommateurs. Toutes ces recherches montrent que l'avis du grand public est incontournable à la mise en place du dispositif.
Notre étude s'intéresse aux représentations et aux avis de la population vis-à-vis des salles de consommation à moindre risque.
Pour répondre à notre question de recherche, nous optons pour une approche quantitative, à l'aide d'un questionnaire construit grâce à différentes études scientifiques. Nous avons interrogé 122 participants francophones pendant 3 semaines via les réseaux sociaux.
L’étude valide la plupart de nos hypothèses et montrent, qu'en moyenne, les citoyens ont des représentations positives et sont favorables aux salles de consommation à moindre risque.
Notre étude a soulevé différents points intéressants qui mériteraient une attention toute particulière pour de futures recherches, tels que la comparaison entre l'avis des usagers de drogue et celui de la population générale.
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