Tendance post-pic du HCl stratosphérique dérivée de spectres solaires FTIR au sol et de simulations de modèles
Thomas, Loïc
Promoteur(s) : Mahieu, Emmanuel ; Chabrillat, Simon
Date de soutenance : 7-sep-2023/8-sep-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/18676
Détails
Titre : | Tendance post-pic du HCl stratosphérique dérivée de spectres solaires FTIR au sol et de simulations de modèles |
Auteur : | Thomas, Loïc |
Date de soutenance : | 7-sep-2023/8-sep-2023 |
Promoteur(s) : | Mahieu, Emmanuel
Chabrillat, Simon |
Membre(s) du jury : | François, Louis
Fettweis, Xavier |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 96 |
Mots-clés : | [fr] Chlorure d'hydrogène [fr] Stratosphère [fr] Protocole de Montréal [fr] Réseau NDACC [fr] Télédétection FTIR |
Discipline(s) : | Physique, chimie, mathématiques & sciences de la terre > Sciences de la terre & géographie physique |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants Grand public |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences géographiques, orientation global change, à finalité approfondie |
Faculté : | Mémoires de la Faculté des Sciences |
Résumé
[fr] La couche d'ozone joue un rôle essentiel en absorbant les radiations ultraviolettes nocives
du soleil. Cependant, cette protection est menacée par des gaz tels que les CFCs et les
HCFCs, qui appauvrissent la couche d'ozone. Pour contrer cela, le Protocole de Montréal a
été établi en 1987 pour réduire et ensuite interdire leur production. Afin d’évaluer son
efficacité, il est essentiel de déterminer des tendances fiables pour caractériser précisément
l’évolution du chlore stratosphérique. Dans cette perspective, le chlorure d’hydrogène (HCl)
se démarque en tant qu’indicateur de contrôle le plus approprié. Bien que le protocole ait
réussi à réduire les émissions des gaz sources, les défis persistent dans la surveillance des
tendances des composés chlorés dans la stratosphère, en raison des changements de
circulation atmosphérique. Certaines études suggèrent que ces perturbations sont plus
prononcées dans la stratosphère inférieure. Cette étude vise à déterminer si les tendances
de HCl dans la stratosphère supérieure, mesurées par des spectromètres FTIR, sont plus
stables et représentatives que dans la stratosphère inférieure. Pour ce faire, des données
FTIR et modèles ont été analysées. Quatre bases de données de modèles différentes ont été
utilisées pour comparer les résultats. Des séries temporelles, des colonnes partielles de HCl,
ont été compilées pour les parties inférieure et supérieure de la stratosphère. Des méthodes
d'analyse de tendance ont ensuite été appliquées, incluant des ajustements saisonniers et
une approche de rééchantillonnage bootstrap pour évaluer les intervalles de confiance. La
signification statistique des tendances a été évaluée en prenant en compte l'autocorrélation
temporelle inhérente à ces données.
Citer ce mémoire
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