Étude des liens entre les déficits de reconnaissance des visages et l'anxiété sociale et la dépression
Nigrou, Trishia
Promoteur(s) : Devue, Christel
Date de soutenance : 31-aoû-2023/8-sep-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/19192
Détails
Titre : | Étude des liens entre les déficits de reconnaissance des visages et l'anxiété sociale et la dépression |
Titre traduit : | [fr] Étude des liens entre les déficits de reconnaissance des visages et l’anxiété sociale et la dépression. |
Auteur : | Nigrou, Trishia |
Date de soutenance : | 31-aoû-2023/8-sep-2023 |
Promoteur(s) : | Devue, Christel |
Membre(s) du jury : | Quertemont, Etienne
Blairy, Sylvie |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 57 |
Mots-clés : | [fr] difficultés de reconnaissance des visages, Prosopagnosie, anxiété, dépression |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique |
Intitulé du projet de recherche : | Étude des liens entre les déficits de reconnaissance des visages et l’anxiété sociale et la dépression. |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Les difficultés de reconnaissance de visage apparaissent dans une forme plus extrême à travers de la prosopagnosie. Il existe deux types de prosopagnosie : Acquise (dû à une lésion) et développementale / congénital. La prosopagnosie peut être définie comme « l’incapacité à reconnaitre les visages familiers, sur base de la perception visuelle, ne pouvant être expliquée ni par des déficits visuels de bas niveau, ni par une altération cognitive telle qu’une confusion mentale, une aphasie, une amnésie ou d’autres signes de détérioration intellectuelle » (Bodamer,1947, p. 6-54 ; Rondot & Tzavaras, 1969, p. 65-133). Nous nous sommes intéressé aux différentes conséquences que ces difficultés peuvent avoir telles que l'anxiété, la dépression. L’étude de L.Yardley et al de 2008 rapporte des difficultés d’interactions sociale entrainant une anxiété d’offenser les autres et un sentiment d’inadéquation. D’autres conséquences psychosociales à long terme fut rapportées tels que des changements de comportement pour éviter les erreurs de reconnaissances, l’évitement des interactions sociales, dépression, des problèmes de relations interpersonnelles, du stress chronique et de l’anxiété sociale. L'étude de Dalrymphe et al de 2014 rapportent également de l'anxiété sociale chez des personnes ayant des difficultés de reconnaissance de visage. Le but de la recherche est de mettre en lien les niveaux d'anxiété, en particulier sociale, et de dépression chez les personnes avec des difficultés de reconnaissance des visages. Nous nous attendions à un taux plus élevé d'anxiété sociale chez les personnes avec des difficultés de reconnaissance ce qui n'a pas été démontré au travers de cette étude. Nous nous sommes également penché sur les stratégies de coping de ces personnes.
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