L'épilepsie idiopathique canine : quels traitements antiépileptiques choisir pour diminuer de moitié la fréquence des crises d'épilepsie ?
Colaci, Lorris
Promotor(s) : Cambier, Carole
Date of defense : 27-Jun-2024 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/20646
Details
Title : | L'épilepsie idiopathique canine : quels traitements antiépileptiques choisir pour diminuer de moitié la fréquence des crises d'épilepsie ? |
Translated title : | [en] Canine idiopathic epilepsy: which antiepileptic treatments should be chosen to halve the frequency of epileptic seizures? |
Author : | Colaci, Lorris |
Date of defense : | 27-Jun-2024 |
Advisor(s) : | Cambier, Carole |
Committee's member(s) : | Desmet, Christophe
Votion, Dominique Bureau, Fabrice Gustin, Pascal Fievez, Laurence |
Language : | French |
Number of pages : | 31 |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] L’épilepsie canine est caractérisée par l’apparition de crises convulsivantes partielles ou
totales. Différentes étiologies ont été mise en évidence par Hall et al (2020) : parmi celles-ci,
la cause idiopathique est une des plus fréquentes et représente le trouble neurologique
chronique le plus fréquent chez le chien (Kearsley‐Fleet et al., 2013). Lorsque le diagnostic de
crises d’épilepsie idiopathiques a été posé par le vétérinaire, il est important d’initier
rapidement une thérapie médicamenteuse afin de réduire d’au moins de moitié la fréquence
d’apparition des crises d’épilepsies (Bhatti et al., 2015; Potschka et al., 2015).
Sur base d’une analyse de la littérature, le traitement de première intention le plus optimal
afin de répondre à l’objectif thérapeutique est le phénobarbital (Boothe et al., 2012). De plus,
les effets secondaires chroniques sont relativement peu importants tant que la dose
thérapeutique n’est pas dépassée (Müller et al., 2000).
En cas de crises d’épilepsie réfractaires à cette première thérapie, l’ajout d’un second
antiépileptique est impératif afin de répondre à l’objectif thérapeutique fixé (Packer et al.,
2015). Après analyse de différentes études, le bromure de potassium représente actuellement
la molécule de choix à ajouter au phénobarbital lors d’épilepsie réfractaire (Podell and Fenner,
1993).
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