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Analyse spatiale du potentiel de recharge maîtrisée des aquifères dans le bassin du Geer

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Mefotie Fotie, Flavie ULiège
Promoteur(s) : Brouyère, Serge ULiège
Date de soutenance : 3-sep-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20888
Détails
Titre : Analyse spatiale du potentiel de recharge maîtrisée des aquifères dans le bassin du Geer
Titre traduit : [fr] Analyse spatiale du potentiel de recharge maîtrisée des aquifères dans le bassin du Geer
Auteur : Mefotie Fotie, Flavie ULiège
Date de soutenance  : 3-sep-2024
Promoteur(s) : Brouyère, Serge ULiège
Membre(s) du jury : Boulvain, Frédéric ULiège
Orban, Philippe ULiège
Derouane, Johan 
Langue : Français
Nombre de pages : 66
Mots-clés : [fr] MAR, craie de Hesbaye, bassin du Geer, GIS-MCDA, recharge directe et indirecte
Discipline(s) : Physique, chimie, mathématiques & sciences de la terre > Sciences de la terre & géographie physique
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en sciences géologiques, à finalité approfondie
Faculté : Mémoires de la Faculté des Sciences

Résumé

[fr] Le changement climatique est un phénomène qui impacte tout le monde entier. Ses effets se font ressentir au niveau du bassin du Geer, où l’on observe depuis plusieurs années une baisse des niveaux piézométriques. Ce sujet a été mis sur pieds afin de cartographier les zones adéquates à la recharge maîtrisée de l’aquifère crayeux de Hesbaye pour une utilisation future. Pour cela, nous avons utilisé les étapes de la méthode GIS-MCDA afin de nous aider à la prise de décision. Notre analyse s’est effectuée sur deux types de recharge. Pour la recharge directe, trois critères ont été utilisés : la distance à la source, l’aptitude hydrogéologique et les zones protégées. Pour la recharge indirecte, cinq critères ont été pris en compte : la pente, l’occupation du sol, l’épaisseur de la zone non saturée, l’aptitude hydrogéologique et la distance à la source. En fonction du type de recharge et sur base de ces critères, nous avons obtenu deux cartes finales d’adéquation pour la mise en place d’une MAR. La carte finale de la recharge directe nous permet de dire que la zone à très forte potentialité occupe une superficie de 55 km² (14,7 %), la zone à forte potentialité occupe une superficie de 172 km² (45,9 %), la zone à moyenne potentialité occupe une superficie de 0 km² (0 %), la zone à faible potentialité occupe une superficie de 13 km² (3,5 %) et enfin la zone à très faible potentialité occupe une superficie de 134 km² (35,8 %). En ce qui concerne la carte finale de la recharge indirecte, la zone à très forte potentialité occupe une superficie de 201 km² (54 %), la zone à forte potentialité occupe une superficie de 91 km² (24,5 %), la zone à moyenne potentialité occupe une superficie de 23 km² (6,2 %), la zone à faible potentialité occupe une superficie de 41 km² (11 %) et enfin la zone à très faible potentialité occupe une superficie de 16 km² (4,3 %). De ce fait, nous pouvons conclure qu’il est bien possible d’implémenter la recharge maîtrisée des aquifères dans le bassin du Geer.


Fichier(s)

Document(s)

File
Access Mémoire_Flavie_MEFOTIE.pdf
Description:
Taille: 4.04 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Mefotie Fotie, Flavie ULiège Université de Liège > Master en sc. géologiques, fin. approf.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Boulvain, Frédéric ULiège Université de Liège - ULiège > Département de géologie > Pétrologie sédimentaire
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Orban, Philippe ULiège Université de Liège - ULiège > Hydrogéologie & Géologie de l'environnement
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Derouane, Johan SPW - DG03 > Dpt Eau et Environnement > Direction des eaux souterraines
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