Étude de faisabilité et dimensionnement d'un filtre planté de roseaux
Chullikal, Maude
Promoteur(s) : Jupsin, Hugues
Date de soutenance : 4-sep-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/21173
Détails
Titre : | Étude de faisabilité et dimensionnement d'un filtre planté de roseaux |
Auteur : | Chullikal, Maude |
Date de soutenance : | 4-sep-2024 |
Promoteur(s) : | Jupsin, Hugues |
Membre(s) du jury : | Wellens, Joost
El Jarroudi, Moussa |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 54 |
Mots-clés : | [fr] étude de faisabilité, débit, charges polluantes, systèmes de traitement, Dimensionnement. |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie |
Organisme(s) subsidiant(s) : | Musée de la civilisation de l'eau de Marrakech Smart Algae |
Centre(s) de recherche : | / |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences et gestion de l'environnement, à finalité spécialisée |
Faculté : | Mémoires de la Faculté des Sciences |
Résumé
[fr] Le développement du Programme d’Approvisionnement Groupé en Eau potable des Régions rurales, alias PAGER, a permis au Maroc d’investir massivement dans des infrastructures qui fournissent d’eau potable pour tous ces citoyens (90%). Dans ce même élan, un musée de la civilisation de l’eau du Maroc a été inauguré en 2017 retraçant es pratiques ancestrales et les développements modernes hydrauliques du pays. Le directeur du musée, Pr Abdenbi El Mandour, engagé dans la mise en compréhension du génie marocain dans la gestion de l’eau, est à la tête de plusieurs initiatives. Un exemple parlant est l’installation de puits et de pied piézométriques sur le site.
Une nouvelle volonté vise à traiter ses eaux usées sur le site même du musée. Il crée un partenariat avec la coopérative Smart Algea pour développer le projet. Un élément important est le financement, le ministère marocain peut fournir les subvenions à condition de réaliser une étude faisabilité qui dévoile tous les aspects techniques d’un système de traitement des eaux.
Le musée n’ayant pas cette initiative en tête à sa construction, tous les éléments sont à déterminer et analyser.
Premièrement, il faut caractériser les eaux usées du musée via leurs origines : domestiques. Le musée a su fournir les données suivantes : sur base de leurs factures, les volumes de consommation d’eau de 2023 et le nombre de visiteurs de la même année.
Pour déterminer un système de traitement adéquat, des éléments essentielles sont à déterminer. Grâce aux données fournies par le musée, des calculs ont défini l’équivalent habitant et un débit hypothétique. Afin de caractériser la charge polluante, des prélèvements ont été effectuer sur site.
Selon les données décrites ci-dessus et les critères du musée, plusieurs systèmes ont été approfondi afin de déterminer lequel serait le plus propice. Il s’agit du filtre planté de roseaux à écoulement vertical, une culture fixée à support fin et le chenal à haut rendement.
Pour finir cette étude de faisabilité, le dimensionnement du système sélectionné, le FPRv a été réalisé. Les paramètres tels que le débit journalier, les charges polluantes et les caractéristiques hydrauliques ont été analysés pour déterminer la configuration optimale du système.
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