Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Prévalence des jeux d'argent et du jeu problématique dans le football amateur de la province de Liège."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Kelkeneers, Tom
Promoteur(s) : Dantinne, Michaël
Date de soutenance : 6-sep-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/21955
Détails
Titre : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Prévalence des jeux d'argent et du jeu problématique dans le football amateur de la province de Liège."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Kelkeneers, Tom |
Date de soutenance : | 6-sep-2024 |
Promoteur(s) : | Dantinne, Michaël |
Membre(s) du jury : | Remacle, Patrick
Roose, Vincent |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie à finalité spécialisée en organisations criminelles et analyse du crime |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Cette recherche examine la prévalence des jeux d'argent et du jeu problématique dans le football
amateur liégeois. L’échantillon est composé de 173 (n = 173) footballeurs amateurs actifs dans 20 équipes différentes de la province de Liège. Les participants à cette recherche sont exclusivement des hommes, âgés de 18 à 43 ans. Ils évoluent dans des divisions allant de la P4 jusqu’à la D1 ACFF. Les tests de trois hypothèses ont également révélé que la prévalence du jeu problématique est plus élevée dans cet échantillon que dans la population générale, que le jeune âge n’est pas un facteur de risque du jeu problématique, et que l'anxiété, seule ou combinée avec la dépression, s'est révélée un facteur prédictif significatif du jeu problématique. Par ailleurs, 56 % des participants ont joué à un jeu d'argent au cours de l'année écoulée, avec une prévalence de jeu problématique atteignant 38 %. Les données sociodémographiques (âge, division, niveau d’études, revenus liés au travail et revenus liés au football) n'ont pas montré de corrélation significative avec le jeu problématique. L'étude souligne également la nécessité de développer des programmes de prévention ciblés spécifiquement pour les footballeurs amateurs, afin d'encadrer et de réduire les comportements de jeu problématiques dans cette population.
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