Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Intelligence artificielle : une nouvelle source d¿opportunités criminelles ?"[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Smolders, Louise-Anne
Promoteur(s) : Dantinne, Michaël
Date de soutenance : 6-sep-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/22143
Détails
Titre : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Intelligence artificielle : une nouvelle source d¿opportunités criminelles ?"[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Smolders, Louise-Anne |
Date de soutenance : | 6-sep-2024 |
Promoteur(s) : | Dantinne, Michaël |
Membre(s) du jury : | Gangi, Océane
Seron, Vincent |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] nouvelles technologies - intelligence artificielle – cybercriminalité – activités routinières |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie à finalité spécialisée en organisations criminelles et analyse du crime |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Les évolutions technologiques ont marqué le 21ème siècle, bouleversant les activités routinières des individus et contribuant à l’expansion de la cybercriminalité. Le rôle de l’intelligence artificielle en tant que fournisseur d’opportunités criminelles est questionné, surtout depuis sa démocratisation récente. Cette recherche a pour objectif d’investiguer si l’intelligence artificielle constitue une boite noire pour le grand public, la perception des avantages/inconvénients l’entourant, l’impact possible sur les mesures de protection dans l’espace numérique ainsi que son potentiel en tant que « crimeware as a service ». Notre échantillon est composé de 163 individus majeurs, belges et francophones composé de 68% de femmes contre 32% d’hommes. Nous avons mené une étude quantitative via un questionnaire standardisé, auto administré et diffusé via les réseaux sociaux. Les résultats indiquent que 98.8% de nos répondants ont déjà entendu parler de l’intelligence artificielle, 58% d’entre eux ont déjà utilisé une application ou site basé sur l’intelligence artificielle. La majorité d’entre eux la décrivant comme facile d’utilisation et ne requérant pas la possession de compétences en informatique. Au travers des résultats, on remarque que l’intelligence artificielle reste en partie une boite noire pour les individus, pouvant remettre en cause les mesures de protection en ligne. La facilité d’utilisation des applications génératives de contenus devrait être investiguée plus en profondeur au vu de son potentiel en termes de criminalité.
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