Minimisation des risques financiers dans les startups de services numériques : vers une méthodologie intégrée fondée sur les pratiques et la théorie
Paschal, Alexi
Promoteur(s) :
Van Caillie, Didier
Date de soutenance : 10-jui-2025/24-jui-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/22603
Détails
| Titre : | Minimisation des risques financiers dans les startups de services numériques : vers une méthodologie intégrée fondée sur les pratiques et la théorie |
| Titre traduit : | [en] Minimising financial risk in digital services startups : towards an integrated methodology based on practice and theory |
| Auteur : | Paschal, Alexi
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| Date de soutenance : | 10-jui-2025/24-jui-2025 |
| Promoteur(s) : | Van Caillie, Didier
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| Membre(s) du jury : | Diliberto, Aurélie
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| Langue : | Français |
| Nombre de pages : | 90 |
| Mots-clés : | [fr] finance, startup digitale, entrepreneuriat, incertitude, recherches qualitatives |
| Discipline(s) : | Sciences économiques & de gestion > Gestion de l'entreprise & théorie des organisations |
| Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants Grand public |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master de spécialisation en gestion des risques financiers |
| Faculté : | Mémoires de la HEC-Ecole de gestion de l'Université de Liège |
Résumé
[fr] Ce travail analyse la gestion des risques financiers dans les startups de services numériques, avec une référence particulière à l'écosystème belge. Ces jeunes entreprises, généralement actives dans les secteurs technologiques et immatériels, doivent naviguer dans un environnement marqué par un haut degré d'incertitude.
Cette incertitude est associée à une variété de risques, tels que le manque de liquidités, l'instabilité du financement, la dépendance à l'égard des réglementations, etc.
Les outils de gestion des risques existants (tels que la norme ISO 31000) sont principalement destinés aux grandes entreprises bien établies et ne sont donc pas adaptés à la réalité des jeunes entreprises. Par conséquent, l'objectif de cette recherche est double. D'une part, mieux comprendre les pratiques actuelles des acteurs du domaine et, d'autre part, proposer une approche intégrée mieux adaptée à la réalité des start-ups.
Dans cette perspective, une méthode qualitative a été utilisée, impliquant des entretiens semi-structurés avec trois profils considérés comme des acteurs clés : les entrepreneurs, les investisseurs institutionnels et les business angels. Cette triangulation a permis de comparer les perceptions, les évaluations et la gestion du risque.
Globalement, les résultats de ces entretiens montrent que :
Les fondateurs gèrent le risque de manière plus intuitive ;
Les investisseurs ont des attentes plus rigides et s'appuient sur le respect de normes ;
Les business angels ont une approche plus humaine et plus flexible du risque.
En outre, un certain nombre d'études de cas internationales illustrent les bonnes et les mauvaises pratiques en matière de gestion des risques
.
Enfin, l'étude propose des recommandations concrètes pour mieux équiper les start-ups, adapter les attentes des financeurs et orienter les politiques publiques. L'objectif est de renforcer la résilience financière des start-ups à fort potentiel et de soutenir leur croissance dans un cadre adapté à l'innovation.
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