Mémoire de fin d'études: Le rôle des rez-de-chaussée dans l'attractivité piétonnière ; focus sur la rue féronstrée à liège
Dubuisson, Emeline
Promoteur(s) :
Courtejoie, Fabienne
Date de soutenance : 26-mai-2025/30-mai-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/23032
Détails
| Titre : | Mémoire de fin d'études: Le rôle des rez-de-chaussée dans l'attractivité piétonnière |
| Auteur : | Dubuisson, Emeline
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| Date de soutenance : | 26-mai-2025/30-mai-2025 |
| Promoteur(s) : | Courtejoie, Fabienne
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| Membre(s) du jury : | Dengis, Anne
Bruck, Laurent |
| Langue : | Français |
| Nombre de pages : | 123 |
| Mots-clés : | [fr] Rez-de-chaussée [fr] Attractivité piétonnière [fr] Ville marchable [fr] Architecture urbaine [fr] Rue Féronstrée |
| Discipline(s) : | Ingénierie, informatique & technologie > Architecture |
| Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants Grand public Autre |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
| Faculté : | Mémoires de la Faculté d'Architecture |
Résumé
[fr] Ce mémoire est né d’une envie de regarder la ville autrement, à hauteur d’œil. En arpentant la rue Féronstrée à Liège, je me suis demandé ce que les rez-de-chaussée racontent, ce qu’ils montrent ou cachent, et comment ils influencent notre envie de marcher, de s’arrêter, de vivre la rue.
À travers une grille d’analyse inspirée de lectures en architecture, urbanisme, j’ai observé chaque façade, chaque seuil, chaque vitrine, pour comprendre comment s’organisent les ambiances piétonnes. Le travail de terrain, mené en octobre 2024, s’est appuyé sur des relevés, des photos, des parcours à pied, et des coupes et élévations dessinées pour rendre compte de l’expérience urbaine.
Ce que j’ai vu, c’est une rue pleine de contrastes : des espaces vivants, d’autres vides ; des façades accueillantes, d’autres fermées. Une rue traversée, mais rarement habitée. À partir de ces constats, j’ai proposé quelques pistes concrètes pour réactiver les rez-de-chaussée : rendre visibles les usages, travailler les seuils, encourager des occupations légères. Pas pour tout transformer, mais pour aider la rue à mieux dialoguer avec celles et ceux qui la traversent au quotidien.
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